ChatGPT, nouvel outil de productivité ?

A moins de vivre dans une grotte éloignée de toute civilisation, vous avez forcément entendu parler de l’outil ChatGPT au cours des derniers mois. 

Oui, mais qu’est-ce que c’est exactement ?

ChatGPT c’est quoi ?

ChatGPT est un modèle de langage naturel développé par OpenAI. En tant qu’Intelligence artificielle générative, il peut produire du contenu écrit ou encore répondre à des questions. Si vous lui demandez à quoi il sert, voici sa réponse : « Je suis conçu pour répondre à une grande variété de questions et de demandes dans de nombreux domaines, tels que la science, la technologie, l’histoire, la culture, les arts, les sports, les loisirs, les voyages, la nourriture et bien plus encore. Mon objectif est d’aider les utilisateurs à trouver des réponses précises et utiles à leurs questions, et de leur fournir une expérience de conversation agréable et satisfaisante. »

L’outil a le vent en poupe et s’avère être particulièrement prisé dans certains milieux professionnels.

Un outil de productivité

Peut-on considérer qu’il s’agit d’un outil de production au même titre que la suite Office ? La réponse est oui.

En tant que modèle de langage puissant, ChatGPT peut certainement être un outil de productivité, tout comme Word, Excel ou PowerPoint. Il peut aider les utilisateurs à générer rapidement du contenu de haute qualité, à automatiser certaines tâches liées au traitement du langage naturel, ou encore à faciliter les échanges avec des interlocuteurs.

Qu’il soit utilisé comme aide à la rédaction ou pour générer un bot de service client, il permet sans aucun doute de gagner du temps et de faciliter le travail de certains utilisateurs.

Les limites de l’outil

Cependant, comme tout outil technologique, et plus encore parce qu’il s’agit d’une intelligence artificielle, ChatGPT possède des limites qu’il faut prendre en compte.

Pour pouvoir générer du contenu, il utilise un algorithme de traitement du langage naturel (NLP) qui se base sur un ensemble de données textuelles. Or, parmi ces données, on peut retrouver du contenu fiable, comme des articles de presse, des livres, mais aussi du contenu personnel comme des blogs ou des extraits de forums. Les informations fournies par l’outil peuvent donc être biaisées ou erronées, selon les données utilisées comme source pour générer le contenu.

De plus, il est possible de se retrouver face à des biais idéologiques : si les données utilisées pour entraîner ChatGPT sont biaisées en faveur d’un certain point de vue, le modèle de langage risque de reproduire ce biais en produisant des contenus qui favorisent ce point de vue ou cette idéologie. De même, si les données d’apprentissage sont biaisées en termes de genre, de race, d’âge ou d’autres caractéristiques, le modèle risque de produire des contenus qui reflètent ces biais.

Si notre premier réflexe est de nous méfier de ChatGPT pour ces biais, il ne faut pas oublier que nous y sommes confrontés chaque jour en utilisant les moteurs de recherche par exemple. En effet, Google, pour ne citer que le principal exemple, collecte en permanence, via l’utilisation des cookies, des informations sur vos goûts, vos préférences ou encore vos idéologies !

Si vous avez l’habitude de regarder du contenu en faveur d’un certain point de vue, le moteur de recherche aura tendance à toujours vous proposer quelque chose de similaire pour être certain que cela vous intéresse. A moins de supprimer régulièrement vos cookies ou d’utiliser la navigation privée, vos recherches ne sont donc jamais objectives !

Contourner les limites

Bien qu’il puisse vous fournir du contenu à la fiabilité aléatoire sur certaines réflexions spécifiques, ChatGPT reste un outil très performant et pratique. Si vous l’utilisez en tenant compte de ses limites et que vous vérifiez régulièrement les informations fournies, vous pourriez gagner un temps considérable.

Notre principal conseil est d’être attentif aux sources générées qui sont très souvent erronées, car comme le reste du contenu elles sont créées à l’aide d’une multitude de données et peuvent contenir des titres inventés ou encore associer des auteurs à des publications qui ne sont pas les leurs.

Se former pour bien l’utiliser

Généralement, lorsqu’un logiciel ou un outil de production est utilisé dans le milieu professionnel, cela donne lieu à une formation ; ChatGPT ne fait pas exception ! Avant tout, il est impératif de bien comprendre ce qu’est une IA et comment fonctionne un modèle de langage.

L’utilisation de l’IA pour la production de contenu soulève un certain nombre de questionnements éthiques, il est important de les connaître et de s’interroger sur sa propre utilisation de l’outil.

Au-delà de l’utilisation technique, qui est particulièrement simple, il faut apprendre à éviter les biais dans les données d’apprentissage et comment minimiser les risques liés à la diffusion de contenus erronés.

Qu’est-ce qu’un prompt dans l’IA générative ?

Ces derniers mois, la démocratisation de l’intelligence artificielle, avec le développement exponentiel d’outils comme ChatGPT ou Midjourney, entraîne de nombreuses questions. 

Nous avons décidé de nous intéresser au sujet, en partant des interrogations de base, afin que tous puissent avoir une meilleure compréhension du sujet. 

Pour commencer, nous avons décidé de revenir sur la définition d’un terme répandu, mais encore peu compris :  le prompt.

Définition

Un prompt est un terme anglais qui désigne une phrase ou un court paragraphe qui sert de commande écrite pour une intelligence artificielle chargée de générer du contenu. Cette phrase fait office d’instruction pour l’algorithme, qui, face à une question ou des directives spécifiques, proposera une réponse adaptée.

Il faut savoir que l’IA est réellement adaptable, et qu’elle saura s’adapter au ton de votre prompt. Autrement dit, si vous souhaitez qu’un outil de génération de texte comme ChatGPT génère une histoire d’horreur ou un poème, il vous suffira de lui donner le ton.

Que peut-on faire avec un prompt ?

Tout dépend de l’outil que vous utilisez ! Aujourd’hui, on entend principalement parler de ChatGPT, qui est un outil de génération de texte. On peut l’utiliser pour rédiger des articles, des histoires, des poèmes ou encore des chansons. Attention toutefois à la véracité des informations et des sources, si vous en faites un usage professionnel.

Il existe également des IA génératives spécialisées dans les images, comme Midjourney ou DALL-E, pour n’en citer que deux des plus connues. La fonctionnalité « text to image » est même disponible sur Canva depuis peu, si vous avez envie de l’essayer. Elle donne un résultat moins impressionnant que les deux premières IA évoquées, mais qui vous permettra de faire des essais et de comprendre le fonctionnement de ce type d’algorithme.

Enfin, même si elles sont moins reconnues, il existe également des IA pour créer de la musique, des logos, des packshots ou encore corriger un podcast/enregistrement pour en éliminer les bégaiements ou sons parasites.

Comment rédiger le bon prompt ?

Le résultat fourni par l’outil dépend donc en partie de votre capacité à rédiger un prompt efficace. Pour cela, nous avons quelques recommandations :

Soyez clair et concis

Un prompt doit être court et simple afin que le modèle de langage puisse facilement comprendre les informations fournies.

Mettez l’accent sur les détails

Essayez de fournir des détails concrets en rapport avec ce que vous souhaitez obtenir. Par exemple, si vous voulez que votre modèle génère une histoire de science-fiction, précisez-le et fournissez des informations sur le lieu et le temps de l’action.

Adaptez votre langage

Il est préférable d’utiliser un langage cohérent avec le type de texte que vous voulez générer. Par exemple, pour une chanson d’amour, il ne faut pas hésiter à employer un langage poétique et des expressions romantiques.

Indiquez à l’IA la direction à prendre

Pour qu’elle sache exactement ce que vous attendez d’elle, il faudra lui donner des indications. Par exemple, si vous voulez qu’elle génère un texte persuasif, indiquez clairement le point de vue que vous voulez défendre. Comme l’outil se base sur du contenu existant, il sera capable de puiser son inspiration dans des textes en adéquation avec ce que vous souhaitez produire.

Soyez créatif

S’il est un peu étrange, à première vue, d’échanger des envolées lyriques avec un bot, n’hésitez pas à être créatif dans votre prompt. Utilisez des phrases accrocheuses ou des détails inattendus pour stimuler l’imagination de votre modèle de langage et lui permettre de générer un texte original et intéressant.

L’arrivée de nouveaux métiers

2022 a été une année particulièrement riche pour les IA génératives, et de nombreux changements dans le monde du travail sont à prévoir. Toutefois, comme pour tout progrès technique, de nouveaux métiers sont en train de voir le jour ou de se démocratiser.

On voit notamment arriver sur le marché des prompt engineer ou ingénieurs prompt. Contrairement à ce que pourrait laisser supposer le terme d’ingénieur, nul besoin de diplôme pour le devenir, il n’est même pas indispensable de savoir coder.

Ce nouveau métier consiste en réalité à être spécialiste en requêtes sur les outils d’IA génératives. Pour cela, il faut très bien connaître l’outil mais aussi l’utiliser de manière intensive pour en connaître les failles et limites, et d’apprendre à en tirer le meilleur.

Comment rester à la page sur l’IA

Avec tous ces changements, vous vous sentez probablement un peu perdus, et c’est tout à fait normal. Comme le milieu de l’IA continue d’évoluer, il vous faudra continuer à vous former sur les nouveaux sujets, via les organismes de formation, en lisant du contenu spécialisé et surtout, en vous essayant à la manipulation de ces outils exceptionnels !

Qu’est-ce que le management situationnel ?

Cette approche du management, originellement appelée « leadership situationnel » a vu le jour dans les années 1980. Elle a été développée par Paul Hersey et Kenneth Blanchard, deux économistes, tous deux experts du management.

D’après eux, il n’existe pas une seule approche du management qui est meilleure que les autres, mais plusieurs, qui doivent être employés selon la personne ou le groupe à manager, en fonction des situations (d’où le nom). 

Pour définir l’approche la plus efficace, plusieurs critères sont à prendre en compte, mais le principal concerne l’autonomie du collaborateur dans la réalisation d’une tâche. Il sera donc possible d’utiliser un style de management différent selon la tâche effectuée.

Les types de management

Le management situationnel répertorie donc quatre styles de management/leadership de base :

Le style directif :

Il est à appliquer lorsque le collaborateur est peu expérimenté mais motivé à effectuer une action. Lorsqu’une tâche est nouvelle pour l’équipe ou si ses membres manquent d’expérience, le leader devra donner des directives précises et en superviser étroitement le travail.

Efficace en cas d’urgence ou si le personnel n’est pas expérimenté, ce type de management se heurte toutefois à des limites en termes de relationnel. Il laisse peu de place aux initiatives, met de côté l’aspect humain et peut mettre à mal le bien-être et la motivation des salariés s’il est employé sans modération.

Le style persuasif :

Cette forme de management est particulièrement utile si les collaborateurs manquent d’expérience mais aussi d’intérêt pour leur mission. Le manager aura comme rôle de les accompagner, mais aussi de les persuader des avantages de la vision de l’entreprise. Il devra donc fournir des explications claires mais aussi encourager l’équipe pour la pousser à la réussite.

Avec le management persuasif, le manager est légèrement plus à l’écoute ; cependant, cela reste une forme de management vertical où seule la hiérarchie est décisionnaire, la créativité et la prise d’initiatives sont donc limitées.

Le style participatif :

Si les membres de l’équipe ont une expérience suffisante et peuvent prendre des décisions, ce type de management permet au leader de s’appuyer sur les effectifs afin qu’elles soient prises de manière collégiale. Cela peut notamment contribuer à renforcer la motivation des collaborateurs.

En revanche, cette forme de management ne convient pas à tous les profils et elle demande du temps et une bonne connaissance de ses équipes. Comme l’obtention d’une prise de décision consensuelle prend du temps, le management participatif n’est pas le plus indiqué en cas d’urgence.

Le style délégatif :

Dans le cas où les collaborateurs ont suffisamment d’expérience et de connaissances pour être autonomes, le manager peut déléguer certaines tâches et de se contenter de monitorer la performance ; on parle alors de management délégatif.

Comme pour le style participatif, il ne correspond pas à tous les profils et peut causer du stress chez les employés ne souhaitant pas avoir de responsabilités. Il est donc à utiliser en bonne intelligence et selon les profils.

Les avantages du management situationnel

Le management situationnel, de par sa flexibilité, permet aux leaders de s’adapter aux changements dans l’environnement de travail, aux besoins des membres de l’équipe et aux exigences de la tâche. Il offre de nombreux bénéfices et peut contribuer à améliorer l’efficacité de l’équipe ainsi que les résultats globaux.

En s’adaptant aux membres de l’équipe, tant sur le style de travail que sur le mode de communication, le management participatif peut contribuer à une meilleure communication et faciliter la compréhension mutuelle.

De plus, si le manager comprend mieux ses effectifs, ils se sentiront plus écoutés et valorisés, ce qui contribue à accroître leur motivation ! Et comme nous l’avons évoqué dans nos articles précédents, la motivation a une incidence sur la productivité.

Enfin, pour mettre en place le management situationnel, le manager devra dresser un tableau de ses effectifs afin de bien comprendre la personnalité, les besoins et les attentes de chacun. Cette connaissance approfondie des collaborateurs lui permettra d’aider les membres de l’équipe à développer leurs compétences, et de leur offrir des opportunités de développement, via un management adapté.

Comment le mettre en place ?

Pour le mettre en place, il est important de bien connaître son équipe. Pour cela, il faudra, comme évoqué plus tôt, effectuer une analyse des besoins. Comme les collaborateurs n’ont pas le même niveau d’intérêt et d’autonomie selon la tâche concernée, il faudra prendre soin d’identifier les tâches et d’y associer, pour chacun, un type de leadership.

Une fois celui-ci mis en place, il est important de suivre et d’évaluer la performance de l’équipe pour s’assurer que l’application de la théorie fonctionne. Il faudra donc surveiller l’évolution et donner du feedback pour que tous puissent s’améliorer.

Enfin, n’oublions pas que pour être un bon manager, la flexibilité est indispensable et c’est d’autant plus le cas dans le management situationnel, puisqu’il impose de changer de style de leadership en en fonction de multiples critères.

Comment le progrès technique de ces 50 dernières années impose de faire évoluer ses compétences ?

Comment le progrès technique et l’innovation de ces 50 dernières années ont-ils entraîné une évolution des métiers et la nécessité de faire évoluer ses compétences ?

Ces dernières décennies, le progrès technique et les nombreuses innovations ont conduit à une véritable transformation du monde du travail, notamment par l’automatisation de certaines tâches, la création de nouveaux métiers et l’évolution des compétences requises dans certains corps de métiers. Cette évolution rapide a entraîné un besoin important de formation continue pour que les travailleurs soient en mesure de s’adapter aux nouvelles technologies.

Nous vous proposons de revenir en détail sur ces progrès techniques et leur influence sur le monde du travail.

La révolution numérique

Avec l’arrivée des ordinateurs personnels dans les années 1970, un grand nombre de personnes s’est mis à utiliser les ordinateurs pour des tâches jusqu’alors réalisées sans, telles que la comptabilité, le traitement de texte ou encore la conception graphique.

Bien que les premiers ordinateurs personnels aient été mis en vente dans les années 1970, on peut estimer que la démocratisation de l’informatique personnelle a plutôt eu lieu dans les années 1980 avec l’arrivée sur le marché de modèles plus accessibles, tant en termes de coût que de facilité d’utilisation.

Cette innovation est venue transformer le monde du travail de manière brutale :

Dans un premier temps, on a assisté à l’émergence de nouveaux métiers : développeur de logiciel, administrateur de réseaux, expert en cybersécurité ou encore spécialiste data, qui se sont, depuis, notamment avec l’arrivée d’internet, démultipliés.

De plus, comme nous l’avons évoqué, l’informatique a aussi modifié les corps de métiers existants en permettant l’automatisation de certaines tâches et le traitement d’un volume de données bien plus important.

Enfin, l’évolution rapide et permanente de la technologie a engendré un besoin de formation continue, afin que les travailleurs puissent s’adapter aux transformations et aux besoins de l’entreprise face à cette évolution.

Le développement exponentiel d’internet

Bien évidemment, avec le développement de l’informatique, on a assisté au développement d’internet dans les années 1980 et 1990. En quelques années, une multitude de nouveaux métiers ont fait leur apparition, tels que les spécialistes du marketing numérique, les développeurs de sites web et les gestionnaires de communauté en ligne. Internet a permis la révolution du e-commerce, mais aussi la naissance de nouveaux modes de communication qui sont venus bousculer l’ensemble du monde du travail.

Les métiers existants ont également été transformés : par la facilitation de l’accès à l’information, la transformation des modes de communication ou par la possibilité, grâce aux outils dédiés de travailler à distance.

L’émergence de la robotique

En 1954, le premier robot industriel Unimate voit le jour grâce à George Devol et Joseph Engelberger, et est utilisé dès 1961 dans les usines de General Motors. A l’origine, ces robots ont été créés pour automatiser certaines tâches répétitives ou dangereuses, mais aussi pour améliorer la productivité et la qualité des tâches accomplies par les travailleurs. C’est donc dans le domaine industriel que la robotique a commencé à se développer, même si, aujourd’hui, avec l’amélioration des technologies, elle a envahi tous les milieux professionnels, de la fabrication à la santé, en passant par l’agriculture, l’éducation ou la sécurité.

L’automatisation de ces tâches et l’accompagnement par la robotique de nombreux corps de métiers a engendré des transformations et une évolution des compétences nécessaires à certains emplois. De plus, comme pour le reste des technologies abordées, la robotique reste en évolution et nécessite un apprentissage continu de la part des travailleurs, pour leur permettre de maîtriser leurs outils de travail.

Les avancées de la robotique ont également permis le développement de technologies connexes, telles que l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique, qui ont également leur impact sur le monde du travail.

L’impact de l’intelligence artificielle sur le monde d’aujourd’hui et de demain

Bien que l’intelligence artificielle ait vu le jour avec la création du premier ordinateur dans les années 1940, ce n’est que depuis les années 2010 que des avancées significatives et impactantes ont eu lieu.

L’IA a eu un impact important sur la robotique et a permis, comme évoqué précédemment, l’automatisation de certaines tâches, voire de certains métiers. Aujourd’hui, elle continue d’évoluer et en vient même à accompagner l’humain dans des tâches demandant une véritable réflexion ; c’est le cas notamment d’outils comme Midjourney ou ChatGPT.

Depuis son développement et comme les technologies précédentes, l’IA a conduit à la création de métiers. Elle a aussi modifié les compétences requises dans de nombreux métiers, puisqu’elle a pour objectif de soulager ou d’accompagner l’utilisateur dans son travail. Les travailleurs doivent donc apprendre à l’utiliser et à collaborer avec des systèmes d’IA.

Enfin, comme toutes les autres innovations, l’IA a entraîné un besoin de formation continue pour les travailleurs, principalement à cause de son évolution constante à laquelle il faut s’adapter, mais aussi parce qu’elle continue chaque jour de gagner en importance dans la vie professionnelle moderne.