Pourquoi est-il crucial de former ses formateurs ? 5 raisons qui vous convaincront

Imaginez : votre entreprise a investi dans un ambitieux programme de formation pour accompagner sa transformation digitale. Vous avez conçu des parcours innovants, mêlant e-learning et classes virtuelles, avec vos formateurs internes. Vous avez même fait l’acquisition d’une plateforme LMS dernier cri. Mais quelques mois après le lancement, le constat est amer : faible taux de complétion des modules, mauvais feedbacks des opérationnels, ROI en berne. Que s’est-il passé ?

La réponse tient souvent en un mot : les formateurs. Ou plus précisément, leur manque de préparation pour dispenser ces nouveaux formats. Car être un expert technique ne suffit plus pour transmettre efficacement des compétences. Le formateur doit lui-même se former en continu pour accompagner les mutations de son métier. Retour d’expérience avec les éléments issus de notre formation de formateurs.

1. S’adapter aux nouveaux modes d’apprentissage

Le distanciel est devenu incontournable dans la formation professionnelle. Pour les formateurs, ce changement de paradigme est un défi. Transposer ses supports et méthodes ne suffit pas. Il faut apprendre à exploiter le potentiel des outils digitaux : ludification, granularisation des contenus, scénarisation immersive, social learning. Cela suppose de se former soi-même à l’ingénierie pédagogique multimodale, pour concevoir des parcours réellement “digital native”.

Concrètement, un formateur habitué aux formations présentielles sur les techniques de vente devra revoir son approche pour l’adapter au distanciel. Au lieu d’un stage de 2 jours en salle, il faudra imaginer un parcours échelonné avec de l’e-learning, une classe virtuelle et quelques mises en situation / jeux de rôle. Cela implique de retravailler les objectifs et le séquençage pédagogique, de se familiariser avec de nouveaux outils, de repenser les interactions.

2. Développer sa posture de consultant et de coach

L’économie de la formation est en pleine disruption, l’offre foisonne. Le formateur ne peut plus se contenter d’être un expert qui déroule son contenu. Les apprenants attendent qu’il les conseille dans leur parcours, les motive, s’adapte à leur profil. De transmetteur de connaissances, le métier de formateur évolue davantage vers celui de partenaire d’apprentissage, de coach.

Cette posture de consultant / coach suppose de développer de nouvelles compétences : techniques d’écoute active, communication assertive, méthodologie d’accompagnement individuel et collectif. Plusieurs autres “soft skills” demandent à être travaillées, mais ces trois sont les plus importantes.

Prenons l’exemple d’un formateur appelé pour animer une formation de management. Au-delà des modèles théoriques, il devra être capable de comprendre la situation spécifique de chaque manager apprenant. En clair, identifier avec lui ses problématiques et co-construire une solution à telle ou telle situation de travail. Être un bon formateur implique d’instaurer une relation de confiance, de pratiquer le feedback bienveillant, de gérer les situations délicates.

3. Intégrer les logiques de performance et d’impact business

Peu d’entreprises échappent actuellement à la problématique de rationalisation des budgets. Chaque formation doit donc démontrer son impact sur la performance. Pour le formateur, cela change la donne. Il doit intégrer dès la conception les enjeux de mise en application opérationnelle, en lien direct avec les priorités business. Cela implique de raisonner en termes d’indicateurs, de dispositif d’évaluation, de suivi après la formation. Mais aussi de créer un groupe de travail avec les managers.

Illustration avec un parcours sur la sécurité. Au-delà de former aux bons gestes, il faudra s’assurer de leur mise en pratique effective sur le terrain. Cela supposera de définir en amont avec les responsables sécurité des indicateurs mesurables (taux de port des EPI, nombre de presqu’accidents), un dispositif d’observation managériale, un plan d’action ciblé. Des éléments qui devront être intégrés dans le parcours et son déploiement.

4. Anticiper l’obsolescence rapide des contenus

Avec l’accélération technologique, le formateur doit aussi se mettre à jour en continu sur les tendances émergentes. Paradoxalement, il doit apprendre à impliquer les apprenants dans la production de contenu. De plus en plus, le savoir n’émane plus seulement des experts, mais aussi des collaborateurs qui partagent leurs pratiques. Cela explique l’essor des logiques d’apprentissage collaboratif et de communautés de pratiques. Le rôle du formateur consiste donc davantage dans l’animation que l’action de formation technique à proprement parler.

Exemple : sur un parcours de formation au Lean Management destiné à des ingénieurs de production, le formateur ne pourra plus se contenter de présenter les concepts et outils. Il devra aussi prévoir des séquences de co-développement où les participants partageront leurs retours d’expérience, imagineront ensemble de nouvelles applications. Cela implique de se positionner en facilitateur des échanges et de la production collective.

5. Créer des expériences d’apprentissage personnalisées et engageantes

Enfin, la guerre des talents et le “quiet quitting” sont deux problématiques brûlantes ces dernières années. La formation doit être un levier de (re)motivation et d’engagement durable. Elle ne doit plus être une contrainte subie, elle doit devenir un moment privilégié de développement et d’épanouissement où chacun a la main sur son parcours.

C’est la raison pour laquelle les formateurs doivent créer les conditions d’un apprentissage personnalisé et engageant. Cela passe par le recueil des besoins et aspirations en amont, la modularisation des contenus pour permettre un maximum de choix.  Cela passe aussi par l’exploitation de la data pour ajuster les parcours en temps réel, la reconnaissance des acquis et des réalisations.

Concrètement, un formateur intervenant sur des populations terrain devra être capable de proposer un parcours à la carte : des briques normatives imposées et des briques adaptées aux besoins de chacun. Il devra guider individuellement les collaborateurs tout au long de la formation (choix en fonction de leur potentiel, de leurs perspectives). Il devra aussi animer la communauté pour stimuler les interactions, la participation. Le tout en suivant au plus près la progression pédagogique et la satisfaction de chacun.

La formation des formateurs est peut-être la clé pour faire progresser la performance de votre entreprise. C’est une exigence qui demande de l’humilité et de l’investissement. Mais elle permettra de démultiplier durablement la performance de vos talents formateurs et de vos dispositifs de formation.

Comment réussir sa réponse aux appels d’offres public et privé ?

Pour décrocher de nouveaux contrats, les entreprises passent généralement par des appels d’offres, qu’ils soient publics ou privés. Mais répondre à un appel d’offres est un exercice exigeant, chronophage et pour le moins cadré. Les appels d’offres sont moins nombreux mais plus complexes (étude Vecteur Plus, 2023), cela accroît la concurrence et donc la difficulté. Il faut ajouter à cela des coûts élevés (embauche de consultants, décaissements liés à la soumission de l’offre) et des délais contraints.

Pour maximiser ses chances de succès, une approche méthodique et rigoureuse s’impose. Décryptage des facteurs clés de succès, avec les éléments issus de notre Formation pour répondre aux appels d’offres.

En amont : cibler et décrypter les appels d’offres

Sourcing et sélection des appels d’offres pertinents

Tout commence par la sélection des projets les plus pertinents pour votre entreprise. Cela passe par une veille active des avis de marché sur les plateformes spécialisées. Par exemple : BOAMP et Marchesonline pour le secteur public, Portail ARIA pour l’aéronautique, Hubwoo pour la grande distribution, etc.

L’enjeu est de concentrer vos efforts sur les projets où vous êtes le plus légitime et compétitif. Des logiciels de sourcing et de présélection peuvent vous y aider, mais le principe est qu’il faut d’abord définir vos critères de sélection. Exemple de ciblage possible :

  • Un objet du marché contenant des mots-clés liés à votre métier,
  • Une liste de secteurs d’activité visés, valable autant pour le domaine privé que public,
  • Une zone géographique,
  • Des seuils de montant et durée du marché.

Analysez le règlement de consultation pour vérifier que votre entreprise peut effectivement avoir accès à la commande : interdiction de soumissionner, niveaux de capacité requis, agréments nécessaires. Enfin, évaluez vos chances de succès : correspondance au savoir-faire, expériences similaires, charge de travail compatible, rentabilité projetée.

Analyse pointue du besoin et des attentes client

Une fois les appels d’offres présélectionnés, place à une analyse détaillée du cahier des charges :

  • Pour un appel d’offre secteur public, il faut décortiquer en priorité le CCTP (Cahier des Clauses Techniques Particulières) présenté par la collectivité territoriale ou autre administration.
  • Pour un appel d’offre secteur privé, ce sont surtout les spécifications techniques et fonctionnelles à étudier en détail.

Pour réussir un appel d’offre, l’objectif est d’identifier les critères d’attribution et leur pondération. L’appel d’offres met-il l’accent sur la technique (en moyenne 60%) ou le prix (40%) ? Les délais ? Les certifications qualité/RSE ? Il faut aussi lister exhaustivement les points à traiter, les livrables attendus, les exigences et contraintes du client.

Une compréhension fine du besoin et des attentes est la clé pour orienter efficacement votre réponse. N’hésitez pas à solliciter des précisions auprès de l’acheteur pendant la phase de questions/réponses.

Go / No Go : évaluer avec réalisme ses chances

Avant de vous lancer, challengez l’opportunité lors d’une réunion de Go/No Go. Il s’agit de chiffrer le budget de l’AO et vos coûts prévisionnels, pour vérifier si l’équation économique est tenable.

Validez aussi l’adéquation au cœur de métier et votre légitimité par rapport à la concurrence. Vérifiez la disponibilité et l’appétence de vos équipes qui seront mobilisées sur l’exécution du marché. Évaluez votre relation avec le client et vos références sur un marché public ou privé similaire. Enfin, vérifiez la rentabilité prévisionnelle du marché, en particulier si vous estimez pouvoir proposer l’offre économiquement la plus avantageuse.

Si le feu n’est pas suffisamment au vert sur tous ces critères, mieux vaut concentrer vos efforts sur des appels d’offres plus accessibles… Des outils de scoring vous aideront à objectiver la décision.

Construire une réponse pertinente et différenciante

Structurer et argumenter son mémoire technique

Votre mémoire technique doit convaincre par des réponses claires, précises et étayées. Un mémoire technique solide, c’est la clé d’une candidature convaincante.

Commencez par reformuler le contexte et les besoins, pour montrer votre parfaite compréhension du dossier de consultation. Puis détaillez votre approche et vos choix méthodologiques pour chaque lot.

Présentez de manière visuelle vos livrables, jalons et engagements de résultats. Valorisez les expertises et certifications des équipes dédiées. Étayez vos choix techniques et budgétaires par des preuves de concept et des retours d’expérience clients. Différenciez-vous par des options et des variantes pertinentes.

Enfin, soignez la lisibilité globale par une structure en miroir du DCE et un rendu aéré. Des outils de relecture alimentés par l’IA vous éviteront oublis et incohérences.

Optimiser sa proposition commerciale

Bien entendu, votre grille tarifaire se doit de rester compétitive, transparente et cohérente avec les engagements de votre mémoire technique. Mais au-delà du prix, c’est votre proposition commerciale qui renforce l’attractivité de votre offre :

  • Synthétisez vos points forts et vos engagements dans un executive summary percutant
  • Expliquez vos indicateurs de performance, vos plans de progrès et de transition
  • Étayez par des retours d’expérience et des références clients probantes
  • Proposez des modèles de gouvernance et de collaboration rassurants
  • Mettez en avant vos atouts différenciants : certifications, labels, maîtrise des risques, etc.
  • Suggérez des services complémentaires et des options à valeur ajoutée

Soigner la forme et l’impact de sa réponse

Un dossier convaincant, c’est aussi une question de forme. Structurez votre réponse en miroir des documents de consultation, avec une numérotation claire et un sommaire dynamique. Respectez à la lettre les exigences de forme du règlement : nombre de caractères, police, pagination, etc.

Multipliez les schémas, tableaux, visuels explicatifs qui faciliteront la lecture et la compréhension. Mettez en exergue vos messages clés et vos chiffres différenciants. Personnalisez votre charte graphique pour affirmer une identité distinctive.

Enfin, préparez avec soin vos passages à l’oral : un storytelling bien rodé, des slides percutants, un pitch impactant feront la différence face au panel de sélection. Des outils de création graphique et des modules d’aide au pitch vous y aideront.

Formaliser une réponse exhaustive et rigoureuse

Collecte et vérification de toutes les pièces

Votre dossier doit être complet et conforme pour éviter toute élimination sur des critères administratifs. Collectez bien tous les documents exigés : administratifs, fiscaux, sociaux, techniques, certificats, qualifications, échantillons, maquettes.

Utilisez une checklist exhaustive et un contrôle qualité systématique en double regard pour ne rien oublier. Relisez, numérotez et signez les mémoires techniques et financiers. Complétez rigoureusement les actes d’engagement et les formulaires spécifiques requis.

Dépôt dématérialisé dans les règles

La moindre erreur dans le dépôt électronique peut coûter cher. Respectez scrupuleusement les formats de fichiers, l’arborescence et les règles de nommage exigées dans le règlement. Ne confondez pas les enveloppes technique, financière et administrative. Testez vos fichiers et leur volume sur la plateforme.

Anticipez ensuite votre dépôt, au plus tard quelques heures avant la date et l’heure limites. Méfiez-vous des minutes fatidiques où les serveurs saturent ! Récupérez l’accusé de réception horodaté, qui fera foi en cas de litige. Et gardez une copie offline intégrale du dossier déposé.

Suivi proactif du processus jusqu’à l’attribution

Une fois votre réponse déposée, restez vigilant : l’acheteur peut vous solliciter à tout moment :

  • Pour régulariser un dossier incomplet ou imprécis sur la forme,
  • Pour obtenir des pièces manquantes (échantillons, fiches techniques, certificats, notamment),
  • Pour des demandes de précisions ou de compléments sur votre offre,
  • Pour défendre votre proposition lors d’une audition,
  • Ou encore pour négocier certains aspects techniques, financiers ou contractuels.

Restez mobilisé et réactif, pour justifier, défendre et adapter votre offre dans des délais souvent contraints. Des applications dédiées vous permettront d’optimiser ce suivi au long cours.

En conclusion : la formation, pour accroître son taux de succès

Répondre efficacement aux appels d’offres publics et privés mobilise des compétences juridiques, techniques, commerciales et rédactionnelles multiples. Pour accroître vos chances de succès dans cet exercice exigeant, rien ne vaut une formation pratique.

C’est l’objectif de la formation Adaliance, animée par des experts du domaine. Voici nos principaux axes de travail :

  • Décryptage du cadre juridique et des pièces types d’un AO,
  • Méthode et outils pour cibler les bons AO et décider du Go/No Go,
  • Ateliers pratiques pour rédiger des mémoires impactants,
  • Entraînements concrets aux oraux et soutenances,
  • Pièges à éviter et de retours d’expérience très concrèts.

Notre formation vous permettra de gagner rapidement en expertise et en efficacité, pour transformer ces projets d’appels d’offres en contrats.

Former les formateurs : l’investissement clé pour une entreprise performante

Les entreprises investissent des budgets importants dans la formation de leurs collaborateurs pour développer les compétences et rester compétitives. Mais au-delà des moyens financiers, un facteur essentiel de succès est souvent négligé : la compétence des formateurs internes. Trop souvent considérés comme de simples exécutants, ils sont en réalité le maillon clé entre la stratégie d’entreprise et sa mise en œuvre concrète.

Les formateurs jouent un rôle clé dans la montée en compétences des équipes et l’accompagnement du changement. Pour assumer pleinement ces missions, ils doivent eux-mêmes être régulièrement formés. Explications.

Des formateurs au cœur de la performance de l’entreprise

Les formateurs internes ont un rôle central dans le développement des compétences. Experts dans leur domaine, ils sont les mieux placés pour :

  • Identifier les compétences critiques à développer en lien avec la stratégie.
  • Concevoir des parcours de formation opérationnels et adaptés aux réalités terrain.
  • Accompagner les apprenants dans leur montée en compétences et faciliter le transfert sur le poste de travail.
  • Animer et évaluer chaque action de formation.
  • Mesurer l’impact concret sur l’entreprise.

Prenons l’exemple d’une entreprise industrielle engagée dans l’Industrie 4.0. Pour accompagner la digitalisation de ses lignes de production, elle doit faire monter en compétences ses opérateurs sur les nouveaux équipements connectés : cobots, machines intelligentes, outils de réalité augmentée, etc.

Les formateurs internes, grâce à leur connaissance intime des processus métiers et des compétences actuelles des opérateurs, sont les mieux placés pour bâtir le plan de formation adéquat :

  • Analyser finement l’écart entre les compétences actuelles et les compétences cibles
  • Définir les objectifs pédagogiques et les modalités les plus pertinentes (présentiel, e-learning, réalité virtuelle, etc.)
  • Concevoir des modules de formation pratiques, alignés avec chaque situation de travail réelle.
  • Déployer les formations au plus près des équipes, en ajustant aux contraintes de production.
  • Mettre en place un accompagnement post-formation pour ancrer les acquis sur le terrain.

Pour jouer pleinement ce rôle d’architecte et de facilitateur, les formateurs internes doivent eux-mêmes monter en compétences. Ils doivent comprendre les méthodes de l’industrie 4.0 : comprendre les impacts sur les métiers, maîtriser les technologies de formation digitales. Tout cela afin de développer leur posture de conseil et d’accompagnement au changement.

Concevoir des parcours plus efficaces et engageants

Avec l’essor des technologies digitales, les modalités pédagogiques se diversifient. Aux côtés du présentiel, le e-learning, les classes virtuelles et la réalité virtuelle permettent de créer des parcours multimodaux, plus flexibles et interactifs. Mais leur conception nécessite de nouvelles compétences, que les formateurs internes doivent acquérir :

  1. Scénariser des modules e-learning interactifs et attractifs
  2. Animer des classes virtuelles dynamiques et participatives
  3. Utiliser la réalité virtuelle pour des mises en situation immersives
  4. Exploiter les données d’apprentissage pour personnaliser les parcours

Prenons cette fois le cas d’une formation en management. Plutôt qu’une séance de formation en présentiel de 2 jours, le formateur va concevoir un parcours hybride (“blended”) sur 5 semaines, mêlant :

  • Des modules e-learning pour acquérir les fondamentaux théoriques, avec des quiz et des cas pratiques.
  • Des classes virtuelles pour approfondir certains points clés et favoriser les échanges entre pairs.
  • Des mises en situation par réalité virtuelle pour s’entraîner à gérer des entretiens difficiles.
  • Des temps d’accompagnement individuel pour définir des objectifs de progrès personnalisés.

Un tel parcours est plus espacé dans le temps. Il est taillé pour tirer profit de modalités variées et complémentaires. L’objectif est d’arriver à une meilleure appropriation et à un réel changement des pratiques managériales. À condition, bien entendu, que le formateur maîtrise les techniques de conception multimodale et sache tirer le meilleur de chaque modalité.

Faire appel à un expert pour professionnaliser ses formateurs internes

Former des formateurs en interne est un vrai métier. Cela requiert des compétences spécifiques en ingénierie pédagogique, animation et accompagnement du changement. Pour garantir l’efficacité de la démarche, il est souvent pertinent de s’appuyer sur un organisme expert, rompu à ce type de projets.

C’est la valeur ajoutée d’un acteur comme Adaliance. À travers notre formation de formateurs, nous proposons une prestation complète taillée pour les enjeux de chaque entreprise :

  • En amont, un diagnostic approfondi des besoins et des profils de vos formateurs pour construire un programme de formation sur mesure selon vos spécificités métiers.
  • Pendant la formation, une pédagogie active mêlant apport théorique, mise en situation, feedback personnalisé.
  • En aval, un accompagnement dans la durée pour ancrer les acquis, avec un suivi post-formation et un bilan détaillé des points forts et axes de progrès.

L’expertise d’Adaliance permet ainsi de bonifier davantage les réalisations de vos formateurs internes. Nous leur donnons les clés pour concevoir et animer une formation percutante, en présentiel comme en distanciel.

 

Pour finir, la qualité de vos formateurs internes peut servir de marqueur fort dans votre image d’employeur. Le marché de l’emploi est tendu, les talents sont attirés par les entreprises qui investissent réellement dans le développement de leurs collaborateurs.

En misant sur des formateurs experts, capables de transmettre avec passion et pédagogie, vous envoyez un signal positif, en interne comme en externe. Vous affirmez la valeur que vous accordez à l’humain et au partage des savoirs. Un critère de choix décisif pour bien des candidats.

Comment automatiser vos tâches avec l’IA pour booster votre activité ?

D’après l’étude « Economic potential of generative AI« , menée par McKinsey en 2023, l’IA générative pourrait ajouter entre 2 600 et 4 400 milliards de dollars par an à l’économie mondiale. Comment ? Tout simplement grâce à l’automatisation de tâches fastidieuses avec cet outil de travail. Découvrez dans cet article tous les avantages actuels de cette technologie ainsi que de nombreux exemples d’applications pratiques pour booster votre activité.

IA et automatisation : les avantages

Depuis près d’un an, de nombreuses entreprises se servent de l’IA pour automatiser les processus de production, de rédaction, de création et de vente. L’avantage majeur commun à toutes ces utilisations de l’Intelligence Artificielle est donc le réel gain de temps qu’elle permet. De plus, l’augmentation de la productivité des employés s’accompagne aussi d’une augmentation de leur bien-être au travail, car ceux-ci passent moins de temps à effectuer des tâches fastidieuses et répétitives et plus de temps à l’accomplissement de tâches plaisantes et créatives.

En plus de libérer du temps, l’automatisation de certains procédés permet :

  • une réduction importante de l’impact des erreurs humaines,
  • l’optimisation des ressources dédiées à un projet,
  • de maximiser les opportunités de valeur ajoutée à vos processus de production,
  • de faciliter la mise en place d’innovations dans votre activité,
  • la réduction des coûts.

Vous n’êtes plus à convaincre des avantages de l’intégration de l’IA ? Vous cherchez plutôt des applications pratiques à mettre en œuvre dans votre secteur ? Découvrez vite quelques exemples des meilleures pratiques de transformation numérique !

Quelles tâches automatiser avec l’IA ?

Voici 5 tâches à automatiser en mettant en place l’IA dans votre entreprise :

1. Gestion des emails et des rendez-vous

Outils possibles :

  • ChatGPT
  • Microsoft Copilot
  • x.ai

L’IA vous aide à rédiger et à trier automatiquement les emails grâce à des modèles de langage avancés. Elle analyse l’urgence des messages, propose des réponses automatiques et organise vos emails selon leur importance. En plus de cela, les applications IA synchronisent vos calendriers et automatisent les rappels pour que votre agenda soit facile à remplir, tout en évitant les doublons.

Une étude, menée par Reworked Insights, à la demande de la célèbre entreprise de visioconférence Zoom, a ainsi révélé que 84 % des dirigeants interrogés ont observé une amélioration de la productivité après l’intégration de l’IA générative dans leur organisation.

2. Automatisation du service client

Outils possibles :

  • Intercom
  • Drift
  • Chatbot GPT-4

Les chatbots intelligents répondent instantanément aux clients. Bien entendu, les anciennes versions des chatbots étaient plutôt frustrantes, car elles se contentaient de donner des réponses préenregistrées. Mais les nouveaux chatbots, enrichis avec l’IA sont capables, d’analyser les demandes des clients et d’apprendre. Ils proposent ainsi des réponses personnalisées ou orientent les clients vers la bonne ressource.

3. Analyse et traitement de données

Outils possibles :

  • Power BI
  • Tableau
  • Python (Pandas, Scikit-learn)
  • Gemini AI

L’automatisation intelligente facilite l’analyse et la visualisation des données en identifiant des tendances en quelques secondes. Les algorithmes de machine learning sont capables de prédire les évolutions de façon fiable. C’est tout le processus de prise de décision qui est accéléré et simplifié. Comme on pourra le voir dans « L’impact de l’IA sur le travail et l’emploi« , réalisé en septembre 2024 par l’Organisation Internationale des Employeurs, l’adoption de l’IA a le potentiel d’augmenter la productivité mondiale de 0,2 à 3,3 % par an, en fonction des taux d’adoption de la technologie.

Participez à notre Masterclass Google Gemini pour apprendre à utiliser l’un des meilleurs outils d’IA de manière efficace pour l’analyse de données et bien d’autres applications !

4. Automatisation du marketing

Logiciels possibles :

  • HubSpot
  • Jasper AI
  • Copy.ai
  • Semrush
  • Ubersuggest

Dans ce domaine, l’IA avance à pas de géant. Elle génère des contenus optimisés pour le SEO, propose des campagnes marketing personnalisées aux entreprises et automatise l’envoi d’emails ciblés ou de newsletters. De plus, ces outils peuvent se combiner à des applications d’étude des données complexes pour optimiser l’engagement, adapter la stratégie et améliorer le taux de conversion.

5. Gestion des ressources humaines

Outils d’automatisation possibles :

  • Deel
  • Paradox AI
  • LinkedIn Recruiter

Comment l’IA peut-elle faciliter le recrutement ? Tout simplement en analysant des milliers de candidatures afin d’identifier les profils qui contiennent les informations les plus pertinentes pour un poste précis. Ainsi, le temps de sélection des candidats est fortement réduit et le délai de recrutement pour les postes à haute importance est réduit de près de la moitié tout en améliorant la qualité des embauches.

Comment mettre en place l’automatisation IA dans votre entreprise ?

Il n’y a aucun doute, l’intégration de l’IA est un vrai levier de croissance pour votre entreprise, quel que soit votre domaine d’activité. Bien sûr, l’Intelligence Artificielle ne peut pas remplacer l’humain dans la prise de décision importante ou dans les processus créatifs. Cependant, elle lui épargne de nombreuses heures de tâches répétitives.

Vous souhaitez mettre en place l’automatisation des processus dans votre activité, mais vous ne savez pas encore comment vous y prendre ? Commencez par observer tous les processus métier de votre entreprise : les vôtres et ceux de vos collaborateurs. Identifiez les tâches chronophages ou répétitives. Choisissez les outils adaptés à la réalisation de ces tâches. N’hésitez pas à tester
plusieurs options.

Testez les automatisations simples d’abord sur un pôle d’activité réduit, puis étendez-le lorsque vous avez pu ajuster tous les paramètres. Bien sûr, n’oubliez pas de surveiller, d’améliorer et de former vos collaborateurs. En résumé : IA et productivité vont de pair, à la seule condition d’oser s’y mettre. N’attendez plus et franchissez le pas pour transformer votre entreprise !

IA et emploi : une menace artificielle

L’intelligence artificielle (IA) modifie les règles du jeu du marché du travail. Nous assistons ainsi à une redistribution des tâches entre humains et machines. Selon le rapport « Will robots really steal our jobs? » de PwC publié en 2018, environ 30 % des emplois seront automatisés d’ici au milieu des années 2030. De son côté, le rapport « Workforce of the future« , également réalisé par PwC, indique que 37 % des travailleurs sont préoccupés par le fait que l’automatisation met leurs emplois en danger. Par contre, de nombreuses personnes pensent que l’automatisation par IA est une révolution positive. Quelles seront les conséquences de cette nouvelle technologie sur l’emploi ? Comment anticiper cette transformation pour s’adapter dans un monde qui s’automatise à grande échelle ? Voici quelques pistes de réponse.

L’IA va-t-elle détruire des emplois ?

Oui, cela ne fait aucun doute ! L’IA supprime des emplois. Pourtant, il n’y a pas lieu de s’alarmer. Pourquoi ? Parce qu’elle est aussi capable d’en créer. Le « Future of Jobs Report 2025 » du Forum économique mondial prévoit que 85 millions d’emplois seront supprimés dans les 5 prochaines années en raison de l’automatisation. Cependant, on peut également y lire que 97 millions de nouveaux postes en lien avec l’intelligence artificielle verront le jour sur cette même période, soit une augmentation nette de 12 millions d’emplois.

Quels secteurs sont les plus impactés ?

5 secteurs sont particulièrement impactés par les outils d’automatisation :

1. Industrie et logistique

Revenons au rapport de PwC « Will robots really steal our jobs? » pour apporter une réponse concrète concernant l’industrie et la logistique. Dans cette étude, on peut voir que les secteurs du transport et du stockage pourraient voir un niveau d’automatisation de plus de 50 % d’ici au milieu des années 2030.

2. Services financiers

L’intelligence artificielle est désormais au centre des différents processus bancaires, qui s’automatisent chaque jour un peu plus. Selon un rapport de Citigroup, environ 54 % des emplois du secteur bancaire présentent un fort potentiel d’automatisation. Bien que toutes ces tâches ne soient pas encore automatisées, l’IA est déjà utilisée pour optimiser des processus tels que l’analyse des risques, la détection des fraudes et la gestion des interactions client.

3. Service client

Les chatbots sont déjà très présents. Jusqu’à l’année dernière, la majorité des logiciels de chat se contentaient de réponses pré-écrites. Aujourd’hui, l’enrichissement avec de l’IA rend ces bots beaucoup plus performants. Cette innovation technologique est capable de produire des chatbots qui donnent des réponses personnalisées satisfaisantes dans la plupart des cas.

Selon une étude de Gartner, d’ici 2027, les chatbots et assistants virtuels enrichis par l’IA deviendront le principal canal de service client pour environ 25 % des organisations.

4. Marketing et communication

L’IA impacte de nombreux domaines de la communication. La génération de contenu automatisée et la création de stratégies publicitaires personnalisées sont faciles à réaliser par les bots capables d’analyser des dizaines de milliers de données des clients cibles.

5. Santé

L’intelligence artificielle joue d’ores et déjà son rôle dans la réduction des tâches administratives au sein des hôpitaux. Selon le Forum économique mondial, l’automatisation intelligente, qui combine IA, outils numériques et robotiques, allège significativement le fardeau administratif des professionnels de santé, leur permettant de consacrer davantage de temps aux patients et de fournir des diagnostics plus rapidement.

L’IA ne remplace pas, elle crée et transforme

Comme nous l’avons vu jusqu’à présent, la suppression de certains emplois à cause de l’automatisation des IA est inévitable. Mais, ce n’est pas le cas de la majorité des postes actuels. En effet, l’automatisation rabat simplement les cartes. Elle redéfinit les missions des collaborateurs humains et les compétences dont ils ont besoin pour occuper un poste. C’est un levier stratégique pour les entreprises en quête d’efficacité et d’innovation.

Évolution de certains emplois

Certains emplois comportaient jusqu’à présent très peu de tâches créatives ou de prises de décision et s’avéraient plutôt techniques, fastidieux et répétitifs. Il est fort probable que l’IA puisse changer la donne en s’acquittant des tâches ennuyeuses ou rébarbatives pour laisser aux employés les prises de décisions et les procédés créatifs. La productivité des travailleurs est ainsi augmentée, tout comme leur bien-être au travail.

Par exemple, dans le secteur juridique, l’IA peut analyser des milliers de documents en quelques secondes. Elle libère ainsi les avocats et les assistants juridiques des tâches fastidieuses qu’ils réalisent. Ces professionnels ont alors plus de temps pour se concentrer sur leur stratégie et leur argumentation.

Pour aller plus loin, découvrez notre formation : Intégrer l’IA dans son quotidien au travail.

Les nouveaux métiers de l’intelligence artificielle

Voici quelques exemples de nouveaux métiers liés à l’essor de l’IA :

  • Spécialiste en prompt engineering : ce professionnel optimise les requêtes adressées à l’IA pour obtenir des résultats plus précis.
  • Éthicien en IA : il comprend les enjeux éthiques liés à l’IA et veille à ce que l’utilisation de l’intelligence artificielle de l’entreprise soit responsable (respect de la vie privée, responsabilité et dialogue social, etc.).
  • Data analyst et data scientist : cet expert tire parti des capacités de l’IA pour analyser des données massives, elles-mêmes générées par l’IA.
  • Ingénieur en automatisation : il développe et déploie des solutions logicielles automatisées.

Se former pour s’adapter aux nouvelles exigences

L’IA est donc un fabuleux outil pour augmenter sa productivité et mieux gérer les ressources humaines de l’entreprise. Encore faut-il savoir l’utiliser ! C’est pourquoi, la formation des collaborateurs est essentielle pour une adaptation.

L’IA n’a rien d’une menace. C’est un outil qu’il faut apprendre à manier. Les emplois menacés sont principalement ceux qui n’arrivent pas à s’adapter à ce changement et qui n’anticipent pas leurs besoins en formation.

Les principales compétences qu’il est possible d’acquérir pour s’adapter à ce changement sont :

  • Comprendre et savoir utiliser des prompts pour les IA de création de contenus : ChatGPT, Copilot, Gemini, etc.
  • Savoir interpréter les données fournies par l’IA pour prendre des décisions basées sur l’impact réel à prévoir.
  • Coder pour intégrer l’IA à un logiciel ou une application.
  • Réguler et protéger les données professionnelles face aux nouvelles menaces automatisées.

Vous souhaitez anticiper les futurs besoins en IA de votre emploi ? Découvrez comment maîtriser le potentiel de l’IA et apprenez à maîtriser les nouveaux outils d’automatisation.

Gemini vs. ChatGPT : quel champion de l’IA pour votre entreprise ?

Actuellement, deux intelligences artificielles sont particulièrement prisées par les entreprises : Gemini (anciennement Google Bard) et la dernière version de ChatGPT. Quels sont les points forts et les points faibles de nos champions IA respectifs ? On fait le match, pour vous aider à choisir l’outil le plus performant et le mieux adapté à vos besoins.

ChatGPT et Gemini : deux visions de l’IA générative qui s’affrontent

Bien que basée sur la même technologie d’IA générative. Gemini et ChatGPT ont été conçus et développés selon des approches différentes.

ChatGPT a été présenté au public en 2022 par OpenAI. Actuellement, nous sommes à la version ChatGPT-4 qui permet de générer du texte, mais aussi des images (via DALL·E). La plateforme propose également de créer ses propres GPT, des assistants virtuels personnalisés pour effectuer des tâches précises.

Quant à Gemini (Generalized Multimodal Intelligence Network), c’est une création du géant Google. Sa force ? Une actualisation des réponses en temps réel grâce à l’immense base de données du moteur de recherche n°1.

Mais ce n’est pas tout, car Gemini est également capable d’interagir avec des fichiers audios, des vidéos, etc. Il n’est pas, comme ChatGPT, cantonné aux contenus textuels.

Fonctionnalités et traitement de contenus

Sur ce point, nos deux IA sont assez similaires. Mais d’après Google, les capacités de génération de code de Gemini excèdent celles de ChatGPT de plus de 70 %.

Pour les performances et capacités linguistiques, ChatGPT prend en compte environ 95 langues, tandis que Gemini se contente de 40.

Les deux modèles peuvent générer des formats de texte extrêmement variés et des images grâce à un simple prompt. Mais ChatGPT ne peut exploiter que les fichiers textuels (Docs, PDF), tandis que Gemini est multimédias.

Génération de texte

La fonctionnalité principale de nos deux IA est bien sûr la génération de textes de haute qualité, mais quelle est la meilleure dans le domaine ?

D’après de nombreux tests, la création d’OpenAI est plus performante pour la rédaction de contenus formels et administratifs (rapports, note de lecture, compte-rendu de réunion, etc.).

Au contraire, Gemini propose plus de créativité et est particulièrement utile en copywriting et en écriture marketing.

Le gagnant dépendra donc de votre profil d’entreprise.

Intégration et compatibilité

Comment les deux IA s’intègrent dans votre écosystème d’entreprise ?

Gemini est conçu par Google. Il s’intègre donc naturellement avec les applis et solutions Google Workspace (Docs, Sheets, Slides, Gmail, Meet, etc.). Si vous utilisez déjà ces outils au sein de votre entreprise, Gemini est un meilleur choix.

ChatGPT, de son côté, est plus flexible et est compatible avec un grand nombre de plateformes. Grâce à l’API OpenAI, il peut être intégré dans des CRM, des outils de service client, des plateformes de gestion de projet et des assistants virtuels. Microsoft utilise également cette technologie pour le chatbot (Copilot) de la suite Microsoft 365.

Pour résumer, si vous utilisez déjà des suites bureautiques de Google, optez pour Gemini. Si ce n’est pas le cas, ChatGPT s’intégrera mieux dans vos process.

Personnalisation et adaptation

ChatGPT propose la création de GPTs personnalisés. Ces versions, adaptées du modèle de base, permettent de créer des assistants virtuels pour des tâches précises (service client, gestion de projet, support technique, etc.).

De son côté, Gemini mise plutôt sur son approche multimodale. Il offre une gestion des données plus fluides et peut traiter des fichiers de tout type.

Si vous avez des besoins d’analyse et de création de contenu plus étendus, c’est le meilleur choix.  En revanche, si votre but est d’automatiser des petites tâches au quotidien, ChtGPT est au-dessus.

En fonction de vos besoins, les GPTs personnalisés permettront de suivre un processus calibré, qui répond exactement à vos besoins. Vous pourrez ainsi indiquer à l’outil le format spécifique de la réponse attendue, indiquer votre consigne, puis le laisser travailler et vous fournir une réponse parfaitement calibrée.

Quelle IA choisir pour mes besoins d’entreprise ?

Vous le constatez, le choix est difficile à faire entre Gemini et ChatGPT. Pour une intégration facilitée avec l’écosystème Google et le traitement de documents plus variés, Gemini est la meilleure solution. Ce sera également un bon assistant pour les codeurs et les professionnels du marketing.

ChatGPT est plutôt à privilégier si les contenus que vous devez générer sont seulement textuels et plutôt orientés vers l’administratif. Idem, si vous souhaitez créer des bots personnalisés pour des tâches précises et si vous utilisez la suite de Microsoft.

Notre conseil ? Combiner les bénéfices des deux IA au sein de vos différents services. Par exemple, vos équipes marketing peuvent se concentrer sur l’utilisation de Gemini et vous pouvez utiliser des assistants GPT pour des tâches automatisées précises.

Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur les fonctionnalités des deux IA, découvrez nos contenus dédiés : une masterclass
Gemini
et notre formation complète pour maîtriser les prompts chatGPT. Grâce à ces ressources, vous serez en mesure d’exploiter l’ensemble des capacités de l’IA pour votre entreprise. Une occasion unique d’augmenter votre productivité à moindre frais.

Copilot : votre nouvel employé star

Vous souhaitez optimiser l’utilisation de la suite Office 365 au sein de vos équipes ? Plus besoin d’investir dans une formation longue et coûteuse. L’application IA de Microsoft baptisée Copilot est votre nouvel assistant tout-terrain. Comment fonctionne-t-il ? Quels sont ses bénéfices pour la productivité ? Comment l’intégrer dans votre flux de travail ? En 2024, 60 % des entreprises du Fortune 500 l’ont adopté.  Est-ce que ce sera aussi votre cas ? Grâce à notre article, vous allez le savoir.

Copilot, c’est quoi ?

Copilot, c’est l’assistant IA made in Microsoft. Il vous assiste pour vos recherches sur le web via le moteur de recherche Edge et dans diverses tâches au quotidien. Mais là où il révèle tout son potentiel, c’est dans ses fonctionnalités intégrées à la fameuse suite Microsoft (Excel, Word, Powerpoint, etc.).

L’intégration de Copilot pour Microsoft 365 est un véritable game changer pour les entreprises.

Vous avez besoin de créer un diaporama pro en quelques minutes pour une entrevue client ? Votre assistant virtuel s’en occupe. Vous lui soumettez simplement un fichier Word et il s’occupe du reste.

Vous êtes invité dans une conversation par email sur Outlook entre 3 protagonistes qui échangent depuis plusieurs semaines ? Copilot vous résume le fil de discussion pour vous faire gagner un temps précieux.

Les applications Microsoft utilisées par Copilot

  • Word : Générez du texte avec et sans mise en forme grâce au format brouillon et créez, résumez et posez des questions sur un contenu avec le mode conversation.
  • Excel : Profitez de suggestions immédiates sur vos formules, types graphiques et obtenez les principaux insights sur les données de vos feuilles de calcul.
  • PowerPoint : Gagnez du temps avec des présentations de qualité, automatiquement mises en page depuis des documents Word.
  • Outlook : Rédigez des e-mails plus efficaces grâce à des suggestions sur le ton et la clarté et obtenez des résumés de discussions.
  • Teams : Copilot s’invite dans vos réunions, répond à vos questions en direct et résume les points clés abordés.

Quels sont les avantages de Copilot pour les entreprises ?

Maîtriser le potentiel de l’IA de Copilot au sein de l’entreprise offre des bénéfices sur plusieurs plans :  gain de temps, meilleure communication, et adaptabilité à tous les profils d’entreprise. On voit tout cela en détail.

Copilot améliore la productivité de vos équipes

Imaginez que vous avez le meilleur assistant du monde. Il est capable de créer du contenu rédactionnel très qualitatif, c’est un pro des tableurs, il est en mesure de créer des présentations de qualité. En plus, il est à jour sur tous vos rendez-vous et vos conversations par mail et accessible 24 h/24.

Maintenant, imaginez que cet assistant, tous vos employés peuvent en profiter à la même échelle.

C’est justement ce qu’offre Copilot de Microsoft : un gain de productivité exceptionnel. Toutes les tâches simples sont automatisées afin de permettre aux équipes de se concentrer sur les activités à forte valeur ajoutée.

D’après une étude menée par Microsoft, les 68 000 employés qui utilisent Microsoft 365 Copilot chez Vodafone ont gagné trois heures de travail par semaine en moyenne.

Copilot améliore la collaboration interservices

L’autre intérêt de Copilot, c’est d’améliorer l’accès à l’information et son exploitation par l’ensemble des collaborateurs. Grâce aux résumés de réunions, vous mettez en avant les points soulevés durant les discussions, les bloqueurs et les décisions prises, sans risque d’erreur. Ensuite, tout est centralisé et rendu accessible aux personnes concernées.

Les fonctionnalités Outlook sont également essentielles pour la communication. L’abrégé des discussions permet de saisir les données à retenir d’un fil et l’aide à la rédaction apporte un vrai bonus en ce qui concerne la clarté des messages.

Copilot s’adapte à vos besoins et à votre identité d’entreprise

Pour finir, Copilot est un assistant sur mesure. Comme il fonctionne grâce à l’intelligence artificielle, il apprend au fur et à mesure que vous l’utilisez et il s’adapte. Petite entreprise, géant du CAC 40, service marketing, gestion des clients… Peu importe votre activité et votre type de structure, Copilot va vous être utile.

Par exemple, Teladoc, une entreprise spécialisée dans la télé-médecine, utilise Copilot pour rédiger les réponses aux questions les plus courantes de leurs clients. Résultat, les agents du service client gagnent jusqu’à cinq heures par semaine.

Les équipes marketing de Finastra, une société spécialisée dans le développement de logiciels financiers, se servent de Copilot pour passer plus rapidement d’une idée à sa réalisation. Une réussite, car cet aspect a été accéléré de 75 % depuis l’intégration de l’assistant virtuel dans leurs process.

Pourquoi intégrer Copilot dans votre flux de travail : on récapitule

Vous le constatez, Copilot se présente comme une véritable révolution pour les entreprises qui utilisent Microsoft 365. Son usage quotidien (générer des notes, faire la synthèse de documents, résumer les e-mails, etc.) offre non seulement d’énormes avantages, mais en plus, son intégration s’effectue naturellement par les équipes. Un outil qui augmente votre productivité et qui diminue vos dépenses structurelles en formation et en recrutement : que demander de mieux ?

RSE : responsabilité sociale des entreprises ou levier de performance ?

Les défis environnementaux s’enchaînent, et avec eux les attentes sociétales s’intensifient. Les entreprises, au centre de l’attention publique, sont de plus en plus appelées à agir de manière responsable et à montrer l’exemple.

La RSE leur permet de répondre à ses attentes en les guidant dans la mise en place d’actions relatives à l’environnement et au social. À première vue, cela peut sembler n’être qu’une contrainte légale, mais elle incarne aussi un engagement volontaire.

Bien utilisée, la RSE est un outil stratégique, en plus de contribuer à une meilleure image de marque, elle offre des avantages économiques concrets.

Qu’est-ce que la RSE ?

La Responsabilité Sociale des Entreprises (ou Responsabilité Sociétale des Entreprises) est l’engagement de celles-ci vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société. C’est un concept reposant sur trois dimensions : environnementale, sociale et économique. L’Union Européenne a renforcé cette démarche avec la Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD), une directive qui impose et encadre le reporting extra-financier. De nos jours, adopter une stratégie durable et éthique n’est pas seulement un impératif écologique et sociétal, mais également une nécessité pour rester compétitif en répondant aux attentes des consommateurs et des investisseurs. Pour faire face à ce défi, Adaliance vous propose une formation sur les bases de la RSE, afin de mieux en comprendre ses principes et l’importance de ses enjeux.

La RSE : un enjeu clé pour les entreprises

L’adoption d’une politique RSE au sein de son organisation est devenue essentielle pour répondre à des pressions multiples. Sur le plan externe, elle permet de s’adapter aux défis actuels, comme les crises climatique ou les régulations telle que la CSRD. En interne, elle contribue à la motivation des collaborateurs et à renforcer la gouvernance. Une stratégie efficace offre un avantage concurrentiel en aidant à relever les enjeux du développement durable, en minimisant l’impact environnemental de votre entreprise et en augmentant sa performance sociale et économique.

Les piliers de la RSE : fondations pour une performance durable

La RSE repose sur trois piliers fondamentaux qu’il convient de bien définir pour parfaitement comprendre l’impact de cette notion. Les piliers de la RSE sont :

  1. Le pilier environnemental vise à réduire l’impact écologique. Cela passe par des économies d’énergie, une gestion raisonnée des ressources et l’adoption de solutions circulaires.
  2. Le pilier social, quant à lui, met l’accent sur les conditions de travail. Il promeut également l’inclusion, l’égalité des chances et le renforcement de l’engagement des collaborateurs.
  3. Enfin, le pilier de gouvernance incarne la responsabilité économique de l’entreprise. Il valorise la transparence, l’éthique, une gestion rigoureuse des risques et la lutte contre la corruption.

Ces trois dimensions, lorsqu’elles sont combinées, offrent des bases solides pour allier performance durable, compétitivité et résilience à long terme.

Mettre en œuvre la RSE : une stratégie gagnante

La mise en œuvre d’une stratégie RSE commence par le diagnostic des impacts environnementaux et sociaux de l’entreprise. Celui-ci permet de définir des objectifs alignés avec les priorités stratégiques de celle-ci. Chaque étape du processus doit inclure les différentes parties prenantes, que ce soit la direction, les collaborateurs ou encore les investisseurs afin d’assurer une adhésion collective à la démarche.

Un exemple de mise en place efficace de la RSE peut être observé dans des entreprises ayant adopté un système de management intégrant les normes ISO 14001 pour l’environnement ou ISO 26000 pour la responsabilité sociétale. La CSRD, en standardisant les indicateurs de performance et en rendant obligatoire le reporting, peut servir de cadre à la mise en place de la démarche RSE.

La RSE comme levier de performance économique et sociale

La Responsabilité Sociétale des Entreprises représente un atout stratégique, permettant une meilleure gestion des risques. D’un point de vue économique, elle engendre des économies significatives, par exemple par la réduction de la consommation énergétique et du gaspillage. Sur le plan social et réputationnel, un management éthique et bienveillant favorise la fidélisation des collaborateurs et rend l’entreprise attractive aux yeux de futurs talents. De plus, cette approche renforce la confiance des consommateurs et des investisseurs, en garantissant un investissement socialement responsable. De nombreuses études établissent le lien entre un engagement RSE solide et une croissance financière accrue, montrant que les entreprises ayant une politique RSE forte sont en général plus compétitives. Enfin, la RSE est aussi un moteur d’innovation, en inspirant le développement de produits ou services répondant aux enjeux environnementaux et sociaux.

En creusant un peu, la RSE ne se limite pas à un impératif légal, elle représente aussi une source précieuse de valeur ajoutée. Encadrée depuis 2024 par la directive européenne CSRD, cette pratique s’est déjà progressivement ancrée dans les pratiques des entreprises en France ces dernières années. Quel que soit le secteur d’activité, c’est une initiative qui permet de renforcer l’image de l’entreprise en promouvant un management bienveillant et favorisant la diversité, tout en restant compétitif. La RSE contribue ainsi à l’amélioration des résultats économiques de manière éthique et durable.

Indicateurs RSE : au-delà des chiffres, comment mesurer l’impact réel ?

La Responsabilité Sociétale des Entreprises est aujourd’hui un enjeu majeur des organisations. Mettre en place une politique RSE est devenu incontournable, mais encore faut-il appréhender correctement les données récoltées. Quels indicateurs clés de performance choisir et comment interpréter les résultats pour assurer une démarche efficace ? Nous vous expliquons tout, point par point, dans cet article.

Comprendre les enjeux des indicateurs RSE

Il n’est pas toujours aisé de mettre en place une politique RSE au sein de son entreprise. Pour faciliter cette tâche, les indicateurs RSE constituent un outil efficace. Ils vous permettent d’identifier les points à améliorer, de suivre votre progression et de renforcer la transparence de votre démarche. Cependant, il ne faut pas s’arrêter aux chiffres, il est essentiel de les remettre dans un contexte et de les interpréter pour en tirer des enseignements pertinents.

Pour accompagner votre entreprise dans cette transition, Adaliance vous propose une formation dédiée aux fondamentaux du RSE, pour mieux en saisir les enjeux et mettre en place un plan d’action efficace.

Quels indicateurs RSE choisir et pourquoi ?

Les indicateurs RSE se structurent autour de trois grands piliers : environnemental, social et gouvernance. Chaque pilier dispose d’indicateurs qui leur sont propres, à sélectionner selon la taille, l’activité et les objectifs de votre entreprise. Pour illustrer ces piliers, voici quelques exemples d’indicateurs :

  • indicateurs environnementaux : des indicateurs comme la consommation d’énergie et d’eau, les bilan carbones et la gestion des déchets permettent de mesurer votre impact environnemental ;
  • indicateurs sociaux : le taux de satisfaction des employé(e)s, le nombre d’heures de formation effectuées, le taux de turnover et d’absentéisme ou encore la proportion de femmes aux postes de direction aident à mesurer le bien-être et l’équité ;
  • indicateurs de gouvernance : la transparence (nombre d’audits et de rapports RSE), le ratio de rémunération entre la plus basse et la plus élevée, l’engagement des parties prenantes reflètent les pratiques éthiques et stratégiques.

Ces indicateurs offrent une vue globale pour suivre les progrès et ajuster les actions.

Comment mettre en place des indicateurs RSE efficaces ?

La mise en œuvre d’une démarche RSE commence par l’identification des objectifs spécifiques à votre entreprise, grâce à un audit. Celui-ci permet de définir les domaines clés dans lesquels l’entreprise peut améliorer son impact social, environnemental et économique. Une fois ces enjeux identifiés, vous pouvez sélectionner les indicateurs les plus adaptés à votre démarche de développement durable.

Ensuite, il vous faut intégrer la collecte et l’étude de ces indicateurs dans les processus existants. Cela peut passer par la mise en place de tableaux de bords interactifs et l’organisation d’audits réguliers pour suivre l’efficacité de vos indicateurs.

Enfin, pour garantir l’efficacité de votre démarche, il est essentiel de former vos équipes à la collecte et l’analyse. Une sensibilisation continue de vos collaborateurs permet de créer une culture RSE forte et assure l’implication de tous dans la réussite de la stratégie RSE.

Mesurer la performance RSE : au-delà des chiffres

Les chiffres collectés, bien qu’essentiels, ne suffisent pas à offrir une vision complète de la performance RSE.

Ils nécessitent une approche qualitative, qui leur donne un contexte et une profondeur. Seuls, les chiffres peuvent être mal compris ou déconnectés de la réalité.

C’est pourquoi il est crucial de s’appuyer sur des méthodes qualitatives, telles que des entretiens individuels, des questionnaires, des études de terrain, et de se baser sur les retours des parties prenantes.

En complément, l’utilisation d’outils interactifs, comme les tableaux de bord RSE, permet de suivre en temps réel les progrès réalisés.

Ces approches permettent d’évaluer la perception, la culture d’entreprise et l’impact réel des actions mises en œuvre, tout en valorisant l’implication humaine et sociale.

Outils et technologies pour le suivi des indicateurs RSE

De nombreux logiciels spécialisés existent pour collecter et analyser les données RSE. Ces outils facilitent l’allocation des ressources en identifiant les domaines prioritaires d’action RSE, automatisent la collecte et l’analyse des données, et favorisent la collaboration interdépartementale.

Des solutions de reporting généralistes, comme des tableurs avancés ou des tableaux de bord interactifs, offrent une flexibilité adaptée à différents besoins. Pour la collecte, des outils simples comme des formulaires en ligne peuvent suffire, tandis que pour des besoins plus complexes, un logiciel d’enquête sera plus approprié.

L’automatisation du processus de collecte et d’analyse renforce la fiabilité des données et garantit une régularité dans les mesures. Par exemple, des solutions SaaS permettent d’automatiser de nombreuses tâches de collecte et de traitement des données, améliorant ainsi la précision et l’efficacité.

En intégrant étroitement la RSE au processus de consolidation financière, les entreprises peuvent répondre aux nouvelles exigences réglementaires et renforcer le pilotage de leur performance globale.

Choisir des indicateurs pertinents et les intégrer dans une approche globale assure d’aborder la RSE de manière efficace. La collecte et l’étude des chiffres est un bon point de départ, qui doit être associé à une approche qualitative, comme l’écoute des collaborateurs, pour mesurer l’impact réel et assurer la cohérence et la profondeur de votre démarche. Une telle initiative contribue à créer un environnement de travail positif tout en apportant une valeur durable à votre société.

Transmission intergénérationnelle : la clé pour une entreprise plus performante et innovante

Pour relever au mieux les défis du marché, les entreprises doivent repenser leur organisation interne. Faire face au vieillissement de la population comme à la percée rapide de nouvelles technologies et méthodes de travail demande un changement de cap. Et si vous tiriez les bénéfices d’une entreprise intergénérationnelle en misant sur la diversité des âges au sein de vos collaborateurs ?

La transmission intergénérationnelle en entreprise représente un véritable atout pour augmenter les performances et l’innovation de votre structure : la création d’un environnement de travail au sein duquel chaque génération apporte sa
valeur ajoutée. Faisons le point sur ce qu’est une entreprise intergénérationnelle, pourquoi former au mentorat reste un investissement gagnant pour performer vos équipes et comment implémenter un programme de mentorat professionnel.

La transmission intergénérationnelle en entreprise, de quoi s’agit-il ?

La transmission intergénérationnelle au sein d’une entreprise se caractérise par unéchange des connaissances, des compétences et des expériences entre collaborateurs de différentes générations. La collaboration intergénérationnelle permet :

  • Le partage, la communication et le transfert de connaissances des baby boomers vers les jeunes profils qui débutent leur carrière au sein de l’entreprise.
  • Le dialogue permanent et bénéfique entre les différentes parties et générations pour une meilleure intégration dans l’écosystème interne d’une structure.

La formation intergénérationnelle ou mentorat d’entreprise constitue un levier important pour encourager cette collaboration fructueuse. Par exemple, les salariés ayant le plus d’expérience peuvent transmettre des compétences techniques et une méthode de travail aux plus jeunes. Ces derniers, de leur côté, vont plutôt apporter leur maîtrise et leurs connaissances des outils numériques et des innovations. Il s’agit en résumé de permettre aux plus anciens de l’entreprise de former les nouvelles générations, et ainsi rendre leur intégration la plus douce possible.

Les objectifs de la transmission intergénérationnelle pour la performance de votre entreprise

Selon l’OCDE, un monde du travail intergénérationnel augmenterait le PIB de 19% en 30 ans. Adopter un management intergénérationnel au sein de votre entreprise, c’est créer un environnement de travail inclusif et diversifié.

Le but du management intergénérationnel est d’améliorer :

  • Les performances, la productivité et la compétitivité de votre entreprise.
  • L’épanouissement et le bien-être au travail de vos équipes de collaborateurs.

Privilégier la transmission des savoirs et des richesses par le biais du management intergénérationnel, c’est favoriser :

  • L’attraction et la fidélisation des jeunes talents.
  • L’échange et le partage de connaissances et de savoirs.
  • L’intelligence collective.
  • La créativité et la capacité d’innovation de chaque collaborateur.
  • L’aptitude des équipes à s’adapter aux évolutions du marché.
  • Les relations intergénérationnelles.
  • Les modes de communication intergénérationnelle.
  • le développement d’une certaine culture d’entreprise.

Relever les défis intergénérationnels et former au mentorat vos collaborateurs séniors sont un investissement gagnant pour augmenter la performance et la productivité des équipes.

Les avantages du management intergénérationnel

Développer la collaboration et la communication entre différents niveaux de générations de salariés est un levier de compétitivité pour votre organisation. D’autant plus avec un contexte dans lequel des postes restent vacants en raison d’un manque de main-d’œuvre qualifiée. D’après l’Institut Montaigne, 10 % des postes à pourvoir dans le domaine du digital restent inoccupés.

Vous êtes directeur des ressources humaines, responsable RH ? La mise en place d’un mentorat d’entreprise ou management intergénérationnel apporte des atouts non négligeables en termes de :

  • Valorisation de l’intelligence collective avec la création d’un cadre de travail inclusif permettant le partage de connaissances de base et la préservation de l’expertise de votre entreprise.
  • Intégration des nouvelles technologies chez les séniors les plus expérimentés dans le but d’augmenter leurs performances.
  • Développement de l’innovation et de la créativité chez vos collaborateurs, tout âge confondu.
  • Image de marque et réputation de votre entreprise grâce au développement de services ou produits adaptés à votre clientèle cible.

Comment mettre en place un programme de mentorat efficace ?

Vous êtes décisionnaire RH et souhaitez lancer un programme de mentorat pour :

  • Fidéliser et intégrer les talents séniors.
  • Favoriser la coopération, l’inclusion et la cohésion interne dans le respect.
  • Contribuer à la créativité, l’entraide et la synergie intergénérationnelle.

Former un mentor aux principes du mentorat dans son environnement professionnel va lui permettre d’optimiser tout le potentiel de ses mentorés. Voici les principales étapes pour concevoir, piloter et animer un programme de mentorat avec un organisme de formation dans votre entreprise :

  1. Définition des objectifs spécifiques du programme de mentorat en collaboration avec l’organisme de formation : résultats attendus, nombre de bénéficiaires accompagnés (mentorés), de mentors, durée totale du programme.
  2. Recrutement des mentors : identification des personnes volontaires, motivation des futurs mentors en mettant en avant les avantages du mentorat, présentation des modalités d’engagement.
  3. Déroulement et animation du programme de mentorat.
  4. Évaluation de l’impact du programme de tutorat sur la productivité, la performance, l’épanouissement et le bien-être au travail des salariés.

Adalliance vous présente son programme pour concevoir, piloter et animer un programme de mentorat. Pour apprendre à mentorer, faites appel à notre expertise.