Pourquoi choisir Google Workspace pour améliorer la productivité de votre entreprise ?

Google Workplace est une solution digitale populaire. Actuellement, 60 % des entreprises du Fortune 500 l’utilisent pour augmenter leur productivité.

Ses atouts principaux ? Des applications d’optimisation pour tous les secteurs : management, reporting, communication, marketing, etc.

Découvrez comment les outils digitaux de Google Workplace optimisent les performances de vos équipes et de votre entreprise.

Pourquoi Google Workplace est la suite bureautique parfaite pour la productivité des équipes ?

La suite Google Workplace a deux fonctions principales : optimiser la collaboration et la productivité personnelle. Avec les différentes applications qui composent cet outil, les équipes travaillent mieux et communiquent de manière plus fluide.

Les bénéfices se font donc sentir à absolument tous les échelons de l’entreprise.

Pour les employés, c’est le gain de temps qui prime. Ils profitent de l’assistance de l’IA sur la plupart de leurs applications quotidiennes, bénéficient d’un accès aux données facilité avec un point d’entrée unique et d’outils performants pour effectuer l’ensemble de leurs tâches quotidiennes.

Le gain de temps par employé gagné grâce à Google Workplace débute, selon le géant de la tech, à pas moins de 1 h 30 par semaine.

De leur côté, les managers disposent d’une meilleure visibilité sur l’avancement des projets et d’une communication interservices plus fluide. Résultat, leurs décisions se basent sur des insights beaucoup plus précis, ce qui réduit le risque d’erreur.

Enfin, plus globalement, l’entreprise constate une augmentation mesurable de la productivité et crée un environnement de travail sécurisé.

Centralisation et gestion plus fiables grâce à Google Drive

L’une des meilleures fonctionnalités de Google Workplace concerne la centralisation des données. Avec cette suite d’outils digitaux, vous regroupez l’ensemble de vos datas sur une seule plateforme de travail (Google Drive).

Plus besoin de naviguer entre différents systèmes, grâce à un point d’entrée unique, les collaborateurs ont accès à des informations fiables et synchronisées. L’intégration sur Google Drive s’effectue de manière très intuitive et l’outil permet également de co-éditer des documents Google Docs, Google Sheets ou encore Google Slides.

Une meilleure communication grâce à Gmail, Google Meet et Google Chat

Google Workplace révolutionne également la communication interservices. Son outil phare dans le domaine ? Gmail, une boîte mails qui intègre également un calendrier pour une gestion fluide de tous les échanges.

En plus de Gmail, vous avez également accès à Google Meet pour organiser des vidéoconférences en toute simplicité. Il suffit de partager un lien pour inviter des participants. Le mode réunion propose aussi un système de discussions instantanées et permet le partage de fichiers.

Enfin, Google Chat est un réseau social interne pour les entreprises. C’est un excellent outil d’engagement et de partage d’informations. Globalement, ces outils impactent positivement la réactivité des collaborateurs.

Une gestion avancée des projets grâce à Google Tasks et Google Keep

Google Workplace ne s’adresse pas seulement aux équipes, mais aussi aux project managers. Avec Google Tasks, ils disposent d’une vue d’ensemble instantanée sur l’avancement des projets. Ils peuvent ainsi identifier rapidement les goulots d’étranglement et communiquer les correctifs à mettre en place.

Pour les collaborateurs directement intégrés au projet, Google Tasks permet également une totale transparence. Tous les membres impliqués sont informés de leurs progrès, de ceux des autres teams et des tâches qui les concernent.

À ce niveau, Google Apps Script est également d’une aide précieuse. L’outil offre aux utilisateurs la possibilité de créer des workflows et d’automatiser un grand nombre de tâches répétitives directement sur le cloud. De cette manière, ils peuvent se concentrer sur les tâches à plus haute valeur ajoutée.

Enfin, dans un projet, plusieurs secteurs de l’entreprise doivent généralement collaborer. Par exemple, les experts techniques doivent corriger les erreurs de services marketing sur les documents officiels. Ce type de communication est souvent source de malentendus, d’erreurs et de frustration entre les services.

Avec Google Drive et Google Docs de Google Workplace, c’est terminé. Les équipes travaillent en simultané sur un même document afin d’aligner les différentes visions et de faciliter les modifications.

Les aspects collaboratifs des outils de Google sont un énorme plus de la plateforme cloud.

Intégration de l’IA : le dernier boost de productivité proposé par Google Workplace

Google Workplace s’est récemment doté d’un outil d’IA qui permet d’améliorer encore plus les performances de vos équipes : Gemini. Cet assistant s’invite dans toutes les applications de la suite pour simplifier et optimiser leur utilisation.

Sur Google Docs, vous bénéficiez d’un service de rédaction assistée. Vous générez des textes plus rapidement et vous bénéficiez d’une correction de bien meilleure qualité.

Sur Google Sheets, vous intégrez automatiquement des formules et des tableaux dynamiques.

Avec Gmail, vous avez accès au tri de mail intelligent et automatique, à une aide à la rédaction et à un résumé des fils de conversations.

Google Meet intègre des résumés de réunions, la transcription des conversations et une assistance conversationnelle.

Google Workplace : le reporting de performance directement intégré à l’outil grâce à Work Insights

L’optimisation est au cœur de Google Workplace. La suite intègre même un outil de reporting de son utilisation par les équipes qui s’appelle “Work Insights”.

Grâce à des tableaux de bord interactifs, les équipes dirigeantes profitent d’insights sur l’utilisation des applications par l’ensemble des collaborateurs.

C’est un excellent moyen de savoir quels outils sont favorisés pour les projets et lesquels sont délaissés. Les métriques clés de l’outil sont : la productivité, l’engagement et la collaboration.

Réseaux sociaux : du clic à l’achat, comment optimiser le parcours client ?

Les entreprises se doivent de renforcer leur présence sur les réseaux sociaux pour communiquer avec leurs clients et attirer de nouveaux prospects. Un ensemble d’outils spécifiques leur permettent de créer et publier des contenus engageants pour étendre leur visibilité et améliorer leur notoriété.

Bien décidées à exploiter le potentiel de ces plateformes, les marques font désormais de celles-ci de véritables canaux de vente. Les internautes peuvent donc réaliser leurs achats directement sur les réseaux sociaux. Comment optimiser le parcours client pour profiter pleinement de cette nouvelle tendance ? C’est à cette question que nous répondons dans cet article.

Favoriser l’achat direct avec les Shoppable contents

C’est une véritable aubaine pour les annonceurs. Les réseaux sociaux ont développé des fonctionnalités encourageant l’achat instantané. Le shoppable content, c’est un accélérateur de vente. Son secret : il offre la possibilité aux internautes de commander un produit sans avoir à quitter le contenu qui en fait la promotion.

Présents sur Facebook, Pinterest, Instagram ou X, les Shoppable contents se présentent sous la forme de visuels, de vidéos, de lives ou de posts. Tout en consommant le contenu publié, l’utilisateur peut commander le produit mis en avant.

Un exemple concret : vous souhaitez commercialiser des vêtements et accessoires de surf. Vous présentez vos produits dans le cadre d’une vidéo divertissante qui suscite l’intérêt de votre audience. Des petits encarts apparaissent pour permettre à l’utilisateur de passer commande sans avoir à quitter le contenu.

Parce qu’il accélère le processus de vente et améliore l’expérience client en simplifiant la démarche d’achat, ce concept optimise le parcours client sur les réseaux sociaux.

Renforcer l’engagement et les interactions

Sur les réseaux sociaux, les clients peuvent interagir librement avec leurs marques et magasins préférés. Une multitude d’outils permettent aux annonceurs de favoriser les échanges et l’engagement.

Pour ce faire, vous pouvez créer une communauté et proposer des forums dans lesquels vos clients partageraient leurs expériences et poseraient des questions liées aux services et/ou produits que vous commercialisez.

Ces espaces d’échanges entre l’entreprise et sa clientèle permettent de maintenir un contact permanent tout en ajoutant une dimension plus personnelle. Ce sont d’excellents moyens de créer un sentiment d’appartenance et un climat de confiance.

Un autre exemple concret : les jeux concours qui incitent les internautes à partager vos contenus. Vous pouvez également concevoir des sondages ou des questionnaires pour recueillir des informations précieuses concernant les attentes de vos clients.

Très bénéfiques pour le customer journey sur les réseaux sociaux, l’engagement et les interactions étendent la visibilité de la marque, favorise la notoriété de l’entreprise et fidélise sa clientèle. En d’autres termes, ces démarches tendent à l’optimisation de ses ventes sur les réseaux sociaux.

Influencer les décisions d’achat

Ce n’est pas un secret, les réseaux sociaux influencent les intentions d’achat des internautes. Influenceurs et entreprises publient des contenus intégrant des témoignages et des recommandations impactants. Dès lors que les auteurs de ces publications sont jugés crédibles, elles se révèlent très efficaces.

Ce pouvoir d’influence permet aux annonceurs de se construire une image de marque authentique de manière à convaincre toujours plus de prospects.

Pour optimiser votre parcours client sur les réseaux sociaux, élaborez des publicités personnalisées. Ces contenus doivent répondre aux attentes spécifiques de votre public cible. En suscitant leur intérêt et en jouant sur l’émotion, vous réussirez à faire naître un besoin qui sera comblé par votre produit en question.

Prenons le cas d’une entreprise qui commercialise des accessoires pour les animaux domestiques. Une vidéo présentant un maître et son compagnon à quatre pattes se promenant sur le goudron brûlant ou sur la neige serait parfaite pour vanter les bienfaits des chaussures pour chiens. Choisissez un cadre réaliste, intégrez une touche d’émotion et un soupçon d’humour pour permettre aux internautes de s’identifier.

Comptez également sur les contenus viraux pour déclencher des actes d’achat en masse. Dès lors que des clients relaient des posts présentant les atouts de vos produits, un effet boule de neige peut être espéré. Pour susciter cet engouement généralisé, proposez des offres promotionnelles à des moments opportuns et encouragez vos clients à partager vos publications. Pour ce faire, proposez des récompenses sous forme de points ou badges ou prévoyez un système de parrainage.

Maintenir un contact permanent grâce aux chatbots

Un autre moyen d’améliorer le parcours client sur les réseaux sociaux consiste à garantir une disponibilité et une réactivité à toute épreuve. Exploitez les chatbots alimentés par l’IA pour répondre aux questions courantes de vos clients. Formulées sur la messagerie d’un réseau social, ces dernières peuvent obtenir une réponse automatique, immédiate et précise.

Avec Manychat, par exemple, automatisez des réponses liées à l’utilisation de vos produits, aux délais de livraison ou aux horaires d’ouverture de votre magasin.

Cette disponibilité permanente est déterminante pour le parcours client réseaux sociaux. Elle améliore la satisfaction client et favorise la fidélisation.

Les réseaux sociaux offrent de multiples opportunités en termes de marketing. Il suffit de jeter un œil du côté des statistiques pour constater l’efficacité de ces plateformes. Hubspot révèle que deux prospects sur trois font des recherches sur YouTube avant d’acheter un produit. Un autre chiffre encore plus parlant : 74 % des consommateurs déclarent s’appuyer sur les réseaux sociaux pour prendre leurs décisions d’achat.

Cela ne fait aucun doute, une entreprise désireuse de doper ses ventes se doit de faire évoluer son parcours client sur ces plateformes. Vous savez ce qu’il vous reste à faire…

IA générative et réseaux sociaux : comment les entreprises peuvent-elles tirer parti de cette nouvelle vague de créativité ?

En 2025, être présent sur les réseaux sociaux s’impose pour les entreprises de tous secteurs. Cette démarche est indispensable pour étendre leur notoriété tout en fidélisant leur clientèle. Avec l’Intelligence Artificielle générative, elles trouvent une aide précieuse. Étudions ensemble comment exploiter cet outil pour élaborer et déployer une stratégie marketing percutante sur les réseaux.

Comment l’IA générative renforce-t-elle la présence des entreprises sur les réseaux sociaux ?

Une étude HubSpot a révélé qu’en 2025, 72 % des professionnels du marketing constatent les excellentes performances des contenus générés par les IA sur les réseaux sociaux. Parmi les applications déterminantes :

  • L’optimisation du ciblage publicitaire
  • La création de contenus ciblés et impactants
  • L’automatisation des échanges avec les prospects et clients

Vous le savez, les contenus ne cessent de s’accumuler sur les réseaux. Face à cette abondance d’informations, les entreprises doivent trouver un moyen de se démarquer de leurs concurrents. C’est à ce stade que l’IA générative intervient.

Optimiser sa stratégie marketing avec l’IA

Une stratégie marketing déployée sur les réseaux sociaux se base sur la communication. En fonction de leur cible, les entreprises sélectionnent des plateformes et exploitent des systèmes d’IA pour renforcer leur présence de manière à étendre leur visibilité.

Capable d’analyser une quantité massive de données avec rapidité et précision, l’Intelligence Artificielle a les moyens d’améliorer votre stratégie marketing. Pour ce faire, elle recoupe les résultats de recherche obtenus par les internautes, analyse les tendances et les statistiques de consultation. Tout en considérant les spécificités de votre secteur d’activité, elle propose des solutions innovantes et efficaces.

En tant qu’annonceur, vous pouvez utiliser un outil d’IA générative comme TextCortex pour élaborer une campagne publicitaire impactante sur les réseaux sociaux. Imaginons que vous souhaitiez lancer un produit d’entretien de voiture. Il vous suffit de formuler une simple question pour connaître les critères déterminants d’une publicité efficace sur les réseaux.

Vous obtiendrez une mine d’informations pertinentes parmi lesquelles :

  • La cible à privilégier
  • Le format publicitaire adapté
  • Des recommandations précises concernant le contenu

Créer des contenus ciblés et impactants avec l’IA

Renforcer sa présence sur les réseaux sociaux implique de publier des contenus réguliers, ciblés et pertinents. Ce travail demande du temps et un esprit novateur. Des outils tels que ChatGPT sont utiles pour dénicher des idées, mais aussi pour générer des textes parfaitement adaptés au public ciblé.

À noter l’effet linkedin chatgpt en 2023, juste après le lancement de cet agent conversationnel. Les contenus créés par l’IA ont augmenté de 189 % sur cette plateforme. Sur Linkedin, gemini se révèle tout aussi efficace pour les marketeurs.

Un prompt soigneusement formulé vous permettra d’obtenir une légende impactante pour enrichir un post sur Facebook, ou Instagram, qui invite les internautes à découvrir le produit d’entretien de voiture que vous souhaitez commercialiser.

Comptez également sur l’IA générative pour générer des images inspirantes. Canva, par exemple, crée des contenus visuels à partir d’une description. Les images personnalisées obtenues vous permettent d’alimenter vos campagnes publicitaires sur les réseaux.

Automatiser les échanges avec les clients grâce à l’IA

Les Chatbots alimentés par l’IA vous permettent d’optimiser la gestion des demandes formulées via les réseaux sociaux. Vous ne pouvez pas rester disponible 24 h/24 pour vos prospects ? Votre agent conversationnel est là pour ça. Manychat, par exemple, peut répondre aux questions liées aux produits que vous commercialisez et fournir des informations sur votre entreprise.

Utilisez cet outil sur le service de messagerie d’un réseau social pour maintenir un contact permanent avec vos clients.

Pourquoi utiliser l’Intelligence Artificielle sur les réseaux sociaux ?

L’utilisation de l’IA générative dans la gestion des réseaux sociaux se révèle très avantageuse. Le fait d’intégrer l’IA dans ses tâches récurrentes permet aux équipes marketing de gagner un temps précieux à réinvestir dans des missions plus stratégiques. Nous avons vu précédemment que les agents conversationnels sont capables d’interagir avec les clients de manière autonome et automatique.

Deuxième avantage offert par l’AI : l’amélioration de la pertinence des contenus publiés sur les plateformes comme Facebook ou Instagram. Les immenses capacités d’analyse de données permettent d’anticiper les besoins des consommateurs, de définir les cibles avec plus de précision ou encore de déterminer le meilleur moment pour lancer un nouveau produit ou une nouvelle marque.

Ces informations précieuses nous amènent à un troisième avantage de poids : la personnalisation des campagnes publicitaires. Assistées par l’IA, les équipes marketing améliorent leur communication avec leur public cible. En adaptant leur message en termes de format, de contenu et de timing, elles optimisent les performances de leurs publicités.

Enfin, une entreprise qui exploite l’IA générative pour gérer sa présence sur les réseaux sociaux réduit ses coûts en limitant le recours à des ressources extérieures.

IA et social média marketing : les erreurs à ne pas commettre

Si l’IA représente un atout de poids pour les équipes marketing, son usage implique tout de même des précautions. Concernant l’automatisation des posts sur les plateformes, veillez à ne pas saturer votre audience avec une fréquence de publication trop importante.

Pour ajuster les nuances contextuelle et culturelle dans les contenus publiés, contrôlez les suggestions de l’IA avant validation et veillez à définir un style rédactionnel adapté à votre public.

Enfin, ne comptez pas uniquement sur la technologie pour échanger avec les utilisateurs. Si les agents conversationnels sont en mesure de répondre aux questions courantes, ils doivent laisser leur place à l’humain lorsqu’il s’agit de traiter de sujets sensibles. Cette démarche s’impose pour gagner en crédibilité et fidéliser la clientèle.

Comment optimiser la productivité de vos équipes grâce à Microsoft 365 ?

La suite Microsoft 365 est une plateforme de productivité basée sur le cloud. Elle propose des outils collaboratifs, d’automatisation et de gestion du temps qui améliorent considérablement la communication et les performances au sein de l’entreprise.

Découvrez comment son adoption par vos équipes va impacter leur efficacité grâce à nos conseils d’utilisation.

Experts des politiques de digitalisation en entreprise et des suites bureautiques, nous vous présentons les best practices pour chaque application afin de vous aider à rentabiliser le ROI de votre abonnement Microsoft 365.

Microsoft 365 : un gain de productivité à tous les échelons de l’entreprise

La suite Microsoft 365 offre des bénéfices de productivité à tous les niveaux de l’entreprise.

Les employés profitent de plusieurs avantages : des données centralisées et facilement accessibles, des outils de gestion et de communication performants et un assistant IA, Copilot, pour automatiser certaines tâches simples. Le gain pour les équipes est précieux : plus de temps à consacrer aux tâches à haute valeur ajoutée, meilleure cohésion et satisfaction personnelle.

Du côté des managers, la plus-value se situe principalement au niveau de la gestion des projets. Ils profitent d’une meilleure visibilité sur les progrès effectués et d’une communication plus fluide avec les membres de leur équipe et les autres services. Grâce à des outils de reporting clairs et intuitifs, ils disposent d’insights précis, ce qui réduit les risques d’erreurs et améliore la transparence.

Pour les équipes dirigeantes, l’intérêt est plus global. Grâce à l’utilisation de Microsoft 365, elles constatent une augmentation mesurable de la productivité et offrent à leurs employés un environnement de travail 100 % sécurisé et satisfaisant. Un gain pour la rétention des équipes et pour le rendement de l’entreprise.

Améliorer la collaboration avec Teams et SharePoint

L’optimisation de la communication et de la collaboration est un enjeu essentiel de Microsoft 365. Plusieurs applications de la suite sont utilisées par les entreprises afin de fluidifier les échanges et d’éviter les malentendus et les erreurs de communication.

L’outil Microsoft Teams permet aux équipes de communiquer en temps réel via chat, appels vidéo et réunions. Grâce à l’envoi d’un simple mail et une connexion aux étapes simplifiées, tous les membres invités peuvent assister aux vidéoconférences.

L’assistant IA Copilot offre même la possibilité de transcrire et de résumer les réunions pour les absents.

L’un des principaux bloqueurs de communication en entreprise concerne les projets intra-services. Ils sont source de malentendus, de frictions et peuvent aboutir à des erreurs.

Grâce à OneDrive et SharePoint, tous les collaborateurs concernés disposent d’un accès simultané au même document. Concrètement, cela permet à plusieurs équipes d’annoter, de modifier, de proposer des corrections et de faire valoir leur point de vue directement sur un fichier.

Ainsi, l’entreprise évite les multiples allez et retours entre les services. Cohésion et transparence sont maximisées.

Optimiser la gestion du temps et des réunions

La suite Microsoft 365 impacte la gestion du temps à plusieurs niveaux. Grâce à Outlook et Calendar, vous bénéficiez d’une gestion efficace des e-mails et d’un outil intégré à toutes les applications pour gérer votre planning et vos rendez-vous. L’utilisation de ces deux outils est particulièrement intuitive et profite des fonctionnalités de Copilot.

Par exemple, lorsqu’un collaborateur est invité à un fil de conversation par mail, l’assistant IA résume pour lui les points clés de la discussion en cours.

Pour optimiser le temps de travail personnel de chaque collaborateur de manière autonome, Microsoft propose également son outil MyAnalytics. Un élément clé pour améliorer sa productivité personnelle.

Optimiser la gestion des tâches et projets

Pour les managers et chefs de projets, Microsoft propose aussi des ressources indispensables. Grâce à l’outil Planner, l’organisation du travail et l’attribution des tâches s’effectuent de manière très intuitive. Les managers fixent des échéances et disposent d’une vue en direct sur l’avancée des objectifs. Cela permet d’identifier rapidement les goulots d’étranglement et d’apporter des correctifs quand c’est nécessaire.

Microsoft To Do concerne plus les projets propres à chaque collaborateur. Il les aide à gérer leurs tâches quotidiennes avec rappels et listes partagées.

Enfin, l’application Project offre des fonctionnalités avancées de gestion de projet, mais elle est plus orientée pour les grandes équipes.

Automatiser les processus avec Power Automate et Power Apps

Pour aller encore plus loin en gain de productivité, automatisez des tâches simples et répétitives au sein de votre entreprise grâce à Power Automate. Un outil essentiel pour renforcer l’autonomie des collaborateurs et leur apporter une aide précieuse au quotidien.

À une échelle supérieure, Power Apps permet la création d’applications no code pour renforcer les fonctionnalités de base de Microsoft 365. Un moyen de répondre aux besoins spécifiques de l’entreprise en minimisant les dépenses.

Pour tirer le maximum des aspects collaboratifs de Microsoft 365 et maximiser votre productivité, Adaliance forme vos équipes aux best practices de la suite et de ses applications phares. Faites de votre transformation digitale un vrai succès grâce à nos experts.

Comment Autopilot peut-il booster la productivité de votre entreprise et l’aider à s’adapter plus rapidement ?

La digitalisation est un enjeu central des entreprises. D’après une étude qui date de 2025, 22 % des entreprises qui ont des projets numériques comptent investir dans du nouveau matériel informatique.

Mais nouveau matériel signifie intervention des équipes IT, configuration des nouvelles interfaces et formation des collaborateurs.

Un processus souvent long et qui nécessite des ressources humaines et financières importantes.

Pour faciliter l’adoption de ses appareils par les entreprises, Microsoft a mis au point Autopilot. Quels sont ses bénéfices pour booster la productivité de votre équipe et lui permettre de s’adapter plus rapidement à un nouvel environnement informatique ? Découvrez ses principales fonctionnalités et ses avantages.

C’est quoi Microsoft Autopilot ?

Autopilot est une solution proposée par Microsoft pour préconfigurer et déployer des PC Windows sans intervention physique. L’intérêt pour les dirigeants et chefs de projet est majeur, car ils n’ont rien à gérer à part l’envoi des appareils. Pour les employés, il suffit de se connecter et l’ordinateur est déjà prêt pour l’utilisation.

Autopilot s’intègre avec Microsoft Intune, Azure Active Directory (AAD) et Endpoint Manager.

Les avantages de Microsoft Autopilot pour l’adoption de nouveaux matériels informatiques

Moins de ressources IT

En 2022, 1 entreprise sur 7 a dépensé plus de 5 000 € dans la digitalisation. Une grande partie de cette somme est consacrée au travail des équipes informatiques de l’entreprise ou de services externes qui installent manuellement les logiciels.

Avec Autopilot, une configuration standard est définie en amont et chaque nouvel appareil se configure automatiquement selon ces paramètres. Cela signifie que chaque employé peut effectuer l’opération en totale autonomie.

Un boost de productivité pour les gestionnaires du parc informatique qui peuvent ainsi se concentrer sur des tâches plus urgentes.

Une meilleure satisfaction des équipes

L’utilisation d’un nouvel appareil informatique représente souvent un défi pour les employés. C’est encore plus vrai lorsqu’ils doivent configurer personnellement leur nouveau PC. Généralement, cette tâche est très peu appréciée, car elle demande du temps et quelques compétences techniques. Mais avec Autopilot, tout se fait en quelques étapes simples. Le salarié reçoit un ordinateur prêt à l’emploi et est opérationnel en quelques minutes.

Déploiement à distance pour le télétravail

Selon une étude de Malakoff Humanis, 50 % des grandes entreprises ont instauré des politiques de télétravail hybride. Bien que ce phénomène soit moins marqué pour les TPE et les PME, il est globalement en constante augmentation.

Si votre entreprise a une politique de télétravail avancé, l’adoption d’Autopilot est une nécessité. Vous envoyez l’ordinateur ou le PC portable à votre employé n’importe où dans le monde et avec une simple connexion internet, il configure simplement l’appareil. Une solution parfaite pour les start-ups internationales.

Sécurité et conformité assurées

Microsoft Autopilot intègre automatiquement les appareils à Azure AD et Microsoft Endpoint Manager. MEM assure un contrôle total sur les appareils de l’entreprise.

Dès le premier démarrage, il reçoit les configurations essentielles de sécurité : chiffrement avec BitLocker, pare-feu et antivirus et Microsoft Defender.

Quant à l’authentification avec Azure AD, elle permet un accès sécurisé. En prime, les normes de l’entreprise sont préconfigurées, ce qui permet à chaque ordinateur envoyé d’être en conformité avec la politique de l’institution.

Mises à jour simplifiées

Pour rester performant, un système d’exploitation nécessite des mises à jour régulières. Encore une fois, Autopilot simplifie cet aspect avec des updates automatiques par Intune et Microsoft 365.

Personnalisation et branding intégrés

Autopilot ne se contente pas de pré-installer le logiciel d’exploitation sur le PC. Il intègre également les applications souhaitées par l’entreprise via Microsoft Intune.

Il offre, en prime, une fonctionnalité pour ajouter son logo sur la page d’accueil. Cette personnalisation est un excellent moyen pour les entreprises de travailler sur leur branding.

Lors des onboardings, les nouveaux employés se sentent intégrés directement dans une communauté avec des process précis. Ce sont ces petits détails qui font la différence pour la réputation d’une société.

Réinitialisation et réaffectation des appareils

Dernier atout d’Autopilot : sa fonctionnalité de réinitialisation à distance. Dans le cas du départ d’un employé, il est possible de le réaffecter directement sans avoir besoin de le réinitialiser manuellement. Toute l’opération se fait en no touch et à distance. Cela permet de limiter les envois par la poste qui peuvent être à l’origine de perte, de dégradation ou de vol.

Utilisez Microsoft Autopilot pour configurer votre parc informatique sur Microsoft

Dans un environnement professionnel où la productivité est un enjeu essentiel, Autopilot s’avère une solution incontournable pour gérer votre parc informatique.

Windows Autopilot simplifie le cycle de vie des appareils Windows de leur premier déploiement jusqu’à leur remplacement. L’outil permet également la mise à jour et la réaffectation des matériels informatiques sans intervention manuelle.

L’impact sur la productivité se mesure à tous les étages.

Les équipes informatiques n’ont pas besoin d’intervenir et peuvent se concentrer sur des tâches à plus haute valeur ajoutée.

Les employés sont opérationnels après seulement quelques étapes très simples à suivre.

L’entreprise fait des économies globales sur les envois de matériel, assure la sécurité de ses systèmes, même à distance, et améliore son branding.

Si vous souhaitez tout savoir sur l’utilisation de cette fonctionnalité Microsoft, découvrez notre guide complet Autopilot.

Bien-être et QVT : Sont-ils les uniques remparts pour préserver notre capital humain face aux RPS ?

Dans un monde où l’on vit 100 à l’heure, les risques psychosociaux (RPS) atteignent des niveaux critiques. Les chiffres du baromètre Malakoff Humanis en 2024 sont alarmants : 60% des salariés français déclarent un niveau de stress élevé. Face à ce constat, le bien-être et la QVT s’avèrent être indispensables. Mais sont-ils suffisants pour préserver le capital humain ?

Tout savoir sur le bien-être, la QVT et les RPS

Bien-être au travail

Le bien-être au travail repose sur plusieurs facteurs : la satisfaction professionnelle, l’équilibre entre vie privée et professionnelle, la relation entre collègues et managers, la charge de travail.

Cependant, selon le baromètre Edenred-Ipsos, seulement 34 % des travailleurs français sont satisfaits de leur travail en 2024. Ce chiffre est en baisse, notamment chez les moins de 35 ans, où la satisfaction est de 31 %.

Dans le secteur de l’enseignement, par exemple, 47% des enseignants se plaignent d’un épuisement causé par la surcharge administrative. Or, on sait tous qu’un salarié satisfait est plus productif, ce qui justifie l’importance de développer la qualité de vie et le bien-être au travail dans son entreprise.

QVT, un levier d’engagement pour les salariés

D’après la définition officielle de l’ANI 2013, la QVT (qualité de vie au travail) désigne toutes les actions qui permettent de concilier amélioration des conditions de travail pour les salariés et performance globale de l’entreprise. Il s’agit en effet d’un concept multidimensionnel lié au bien-être ainsi qu’à l’épanouissement des employés.

Selon les enquêtes menées par ANACT (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2024, 60 % des salariés considèrent la QVT comme un facteur décisif pour rester dans une entreprise.

Comme le bien-être au travail, la QVT incombe avant tout à l’entreprise. En effet, 81 % des entreprises françaises investissent dans des programmes de bien-être afin d’attirer et de fidéliser les talents (étude Deloitte 2023).

RPS : comprendre les causes pour mieux agir

Les RPS ou risques psychosociaux concernent généralement la santé physique et mentale des travailleurs au sein d’une entreprise. Le harcèlement professionnel, la surcharge cognitive et l’isolement en sont les principales causes.

Comme le souligne Sylvaine Perragin dans Travailler sans souffrir (2023), le RPS vient de l’organisation et non des individus. Ainsi, une réorganisation structurelle permet de réduire durablement la RPS. Orange a adopté cette approche et a vu ses arrêts de maladies diminuer de 40% en l’espace de 2 ans.

Bien-être et QVT : indispensables, mais insuffisants

Bien que le bien-être au travail et la QVT soient indispensables, eux seuls ne permettent pas de préserver le capital humain.

Les approches sont majoritairement centrées sur les individus (séance de yoga, team building, création d’espace de détente). Or, le problème provient surtout de l’organisation au sein de l’entreprise : « On panse les plaies sans changer ce qui les cause ».

L’organisation du travail, grande oubliée ? Les chiffres choquent : 64 % des salariés éprouvent des difficultés à déconnecter, conduisant à un épuisement professionnel prématuré, 73 % des cadres en TPE/PME souffrent de stress lié à l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

En effet, le management, la répartition du travail, le climat managérial jouent un rôle majeur dans l’épanouissement au travail. Raison pour laquelle, chaque entreprise doit repenser leur organisation (temps de travail, outils, management) pour anticiper les RPS.

Quelles approches pour préserver le capital humain ?

Le bien-être et la QVT doivent s’accompagner d’une approche efficace. Mais alors, comment Renforcer le bien être au travail et manager les risques psycho-sociaux ?

  • Former les équipes aux RPS : les entreprises qui investissent dans une formation aux RPS voient leur productivité augmenter de 15%.
  • Optimiser les échanges salariés-employeur
  • Faire évoluer les pratiques RH : flexibilité horaire, espaces de paroles anonymes, reconnaissance des efforts.
  • Former les managers à la bienveillance et prévenir le harcèlement
  • Promouvoir un management participatif

Conclusion

En résumé, le bien-être et la QVT impactent directement le développement d’une entreprise. Cependant, d’autres facteurs clés comme la formation, la révision de l’organisation interne ainsi que la responsabilisation des managers restent indispensables.

Le rôle des managers : bouclier ou épée dans la lutte contre le harcèlement ?

Le harcèlement en milieu professionnel est un enjeu majeur pour la qualité de vie au travail, la performance et l’image de marque de votre entreprise. Placé en première ligne, le manager pourra faire rempart, ou au contraire aggraver la situation par ses agissements. Pourtant, son rôle est crucial pour la prévention, la détection et la gestion concrète des formes de harcèlement au travail. Alors, quelles sont ses responsabilités ? Et comment le transformer en acteur clé de la lutte contre le harcèlement professionnel ?

Quels sont les chiffres du harcèlement en entreprise ?

Longtemps tabou, voire quasiment officiellement inexistant, le harcèlement moral ou sexuel au travail est aujourd’hui juridiquement reconnu et très souvent abordé dans les médias ou sur les réseaux sociaux. Depuis quelques années, de nombreuses études sont menées pour prendre la mesure de ce phénomène :

Les entreprises ont bien conscience de l’enjeu que représente le harcèlement au travail. D’ailleurs, en 2024, la Fédération des intervenants en risques psychosociaux (Firps) a révélé avoir été mandatée par 247 entreprises et comités sociaux et économiques (CSE) en 2023 pour enquêter sur le harcèlement sexuel et moral dans leurs locaux. En interne, chaque manager est responsable de la bonne application de la loi auprès de ses équipes. S’inscrire à une formation professionnelle contre le harcèlement pour améliorer ses compétences et ses connaissances sur le sujet permet donc de répondre à un vrai besoin des entreprises aujourd’hui.

Comment les managers peuvent-ils agir contre le harcèlement ?

Le manager a un véritable rôle à jouer pour prévenir le harcèlement et agir face aux situations déjà en place. Il est de sa responsabilité de :

  • Détecter les signaux de faiblesseSouvent premier témoin des tensions qui peuvent apparaître au sein d’une équipe, le manager doit pouvoir repérer et identifier certains signes. L’isolation progressive, des signes de stress, d’anxiété, une baisse d’engagement, des alternances dans le comportement créent un cadre général qui doit alerter.
    – Action associée : définir un programme d’entretiens individuels réguliers pour analyser ces signes.
  • Instaurer le dialogue et la bienveillanceLes victimes de harcèlement doivent pouvoir parler en toute sécurité dans un environnement de travail où l’on dénonce ouvertement les faits.- Actions associées : organiser des réunions d’équipe pour rappeler la valeur du respect, proposer un management participatif où chacun peut parler sans crainte de représailles, former un référent harcèlement pour les effectifs.
  • Privilégier la formation et la sensibilisation des managersEn apprenant à reconnaître une situation de harcèlement, en ayant une connaissance spécifique du cadre juridique et des obligations de l’employeur, et en montrant une réaction adaptée, le manager devient un vrai bouclier.
    – Action associée : former les managers à lutter contre le harcèlement moral et sexuel au travail en participant à des modules pédagogiques.
  • Encourager la parole et la protection des victimesLa mise en place d’un climat de confiance en valorisant ceux qui donnent l’alerte, tout en évitant les répercutions négatives sur les victimes est nécessaire.- Action associée : instaurer une charte de protection des victimes et des témoins de situations de harcèlement.

Mais lorsque ces principes ne sont pas respectés, la manager peut vite se transformer en acteur du problème, plutôt que de la solution.

Comment les managers aggravent-ils les situations de harcèlement ?

Certains comportements des managers ou des employeurs peuvent favoriser le harcèlement ou aggraver des situations déjà présentes :

  • Une pression excessive et le management par la peur
    Certaines politiques de management toxiques peuvent avoir un impact négatif sur le climat moral de l’entreprise. Le stress permanent, la surveillance excessive des personnes, les stratégies étouffantes, les menaces, les humiliations et la gestion par la peur sont responsables de certains comportements harcelants.
    – Action associée : mettre en place l’évaluation du management avec une approche garantie anonyme pour détecter les éléments et les pratiques abusives.
  • Un silence ou une complaisance face à un agissement toxique
    Ne pas intervenir lorsqu’une femme subit une remarque sexiste par exemple, lorsqu’un collaborateur est humilié ou subit un isolement, minimiser les alertes, protéger un agresseur en raison de ses performances et encourager le silence ne sont pas acceptables.
    – Action associée : appliquer une politique de tolérance zéro en matière de harcèlement et montrer un soutien adapté aux victimes pendant tout leur parcours.
  • Une mauvaise gestion des conflits menant à des dérivesUn mauvais accompagnement des collaborateurs au travers d’un conflit peut offrir une opportunité de harcèlement. Éviter de créer des relations de favoritisme, d’appliquer des solutions différentes ou des inégalités de traitement permet déjà de calmer les conflits.
    – Action associée : une formation à la gestion des conflits par la médiatisation plutôt que par des sanctions arbitraires.

Comment former les managers pour lutter contre le harcèlement professionnel ?

Pour une lutte et une prévention du harcèlement efficace et généralisée, un maximum d’encadrants doit avoir accès régulièrement à une formation contre le harcèlement spécifique :

  • un centre formateur pourra sensibiliser les managers à la notion et aux différentes formes de harcèlement (moral, sexuel, discriminatoire) en fournissant les outils qui permettent de le détecter.
  • La formation permet d’aborder les bases légales, avec notamment l’obligation de prévention et de protection faite au personnel encadrant.
  • En fonction des possibilités pour l’employeur, la formation encouragera la mise en place de dispositifs d’alerte et de signalement, et la désignation d’un référent harcèlement identifié pour chaque équipe.
  • Chaque encadrant doit pouvoir être accompagné dans les situations les plus complexes sur son lieu de travail. La création d’un réseau de référents internes (comme les RH, psychologues du travail, médiateurs), l’intégration de coachings et les retours d’expérience entre managers peuvent apporter un vrai soutien de groupe.

Bien formés et soutenus par des procédures claires et un accompagnement adapté, les managers ne sont plus de simples observateurs : ils deviennent le premier bouclier essentiel contre le harcèlement en entreprise.

Les conséquences du harcèlement : un coût humain et économique exorbitant !

Le harcèlement en milieu professionnel est une réalité préoccupante pour de nombreuses entreprises. Les conséquences du harcèlement dépassent largement la personne concernée et affectent toute l’organisation. Pour mieux prévenir et lutter contre le harcèlement moral ou sexuel professionnel, il est essentiel de bien en reconnaître toutes les répercussions humaines et économiques.

Quelles sont les conséquences humaines du harcèlement en entreprise ?

Lorsque le harcèlement s’installe en entreprise, les conséquences sur les employés ne se limitent pas seulement aux victimes. C’est tout l’environnement de travail du personnel qui subit des dégradations.

Les impacts sur la santé physique et mentale des salariés

Le harcèlement dans le monde du travail affecte la santé psychologique et le moral du salarié victime, mais aussi de ses collègues témoins. Selon les cas, les victimes peuvent développer des troubles de nature anxieux et dépressifs qui s’accompagnent de l’apparition de symptômes psychosomatiques par exemple. Les maux de tête, les problèmes de sommeil répétés, les douleurs chroniques peuvent être graves et nuire considérablement au bien-être du salarié.

D’ailleurs, dans les situations les plus graves, le harcèlement au travail peut mener à une souffrance extrême, et représenter un risque de tentative de suicide, ou de suicide avéré. Entre 2008 et 2009, la France a d’ailleurs été marquée par une série de suicides attribuée aux conditions de travail stressantes et à la politique managériale agressive d’un employeur, France Télécom.

La détérioration des conditions sociales sur le lieu de travail

Après une situation de harcèlement professionnel, les conditions de travail entre salariés et supérieur hiérarchique se dégradent. La confiance diminue et les comportements changent. Dans ce climat un peu particulier, les agissements irritent plus facilement et les conflits en interne augmentent. Avec un sentiment d’insécurité, les collègues ont moins envie de collaborer et une forme de malaise s’installe.

La baisse de la motivation et de l’intérêt des salariés au travail

Le harcèlement psychologique ou physique au travail va agir sur l’engagement professionnel des individus. Petit à petit, les collaborateurs concernés par les gestes ou témoins, prennent de la distance par rapport à l’entreprise. On remarque souvent une augmentation de l’absentéisme et des congés suite à une perte d’intérêt pour le travail ou à des problèmes médicaux.

Face à cette moindre implication professionnelle, la productivité baisse et les conséquences du harcèlement en milieu de travail commencent à toucher l’économie de l’entreprise et l’organisation du travail.

Quels sont les coûts économiques du harcèlement professionnel ?

En plus de la dégradation des conditions de travail de tous les salariés, les cas de harcèlement moral ou physique au travail compromettent aussi la santé économique de l’entreprise.

L’augmentation des coûts liés à la santé et à l’absentéisme

Lorsque le harcèlement porte atteinte à la dignité ou à l’intégrité physique ou morale des victimes, les cas d’arrêts maladie prolongés se multiplient. Les dépenses liées à la santé au travail et au soutien psychologique sont donc en hausse et impactent le budget de l’entreprise. Par ailleurs, pour pouvoir compenser ces absences, il peut être nécessaire de faire appel à des organismes de travailleurs en intérim. Une activité temporaire supplémentaire qui peut peser plus lourd sur le budget.

Le turnover élevé et la perte potentielle de talent

Une mauvaise ambiance générale suite à du harcèlement moral en milieu professionnel, c’est aussi un changement des conditions de travail susceptible d’accélérer des départs d’employés. Les victimes et les collaborateurs risquent en effet de prendre leur disposition en cherchant un avenir plus serein ailleurs. Résultat ? L’obligation de consacrer du temps et de l’argent pour un nouveau recrutement sur mesure, et la formation du nouvel employé. Un dommage collatéral non négligeable en termes de perte de savoir-faire et de continuité dans les projets en cours.

L’atteinte à la réputation de l’entreprise

Un cas de harcèlement, ce n’est jamais bon pour l’image de la société auprès du public et des partenaires. Les critiques et les dénigrements commencent à courir et il peut être plus difficile d’attirer de nouveaux candidats ou des contrats commerciaux. Une enquête ou un procès pour harcèlement, ce n’est bon ni pour la réputation ni pour les finances. Les clients fidèles sensibles à l’éthique pourraient ne plus se reconnaître dans les valeurs de l’entreprise.

Les coûts juridiques et les indemnisations

Le signalement des faits de harcèlement moral ou sexuel peut se faire en interne, auprès du manager, des RH, du Comité social et économique (CSE) de la médecine du travail ou encore de l’inspection du travail. Aujourd’hui, les victimes de harcèlement osent de plus en plus parler, porter plainte, et saisir le Conseil des Prud’hommes pour dénoncer des actes graves. Dans le cadre de cette procédure, les dommages et intérêts, les amendes et les éventuelles sanctions pénales peuvent vite coûter cher (parfois jusqu’à 50 000 euros).

Comment prévenir le harcèlement et ses conséquences désastreuses ?

Pour éviter d’en arriver à de telles situations, il vaut mieux anticiper et prendre des mesures de protection des travailleurs. Pour un environnement professionnel qui mise sur la prévention, l’écoute et la sécurité de chacun, il faut privilégier :

  • La définition d’une politique claire : avec l’existence d’un code éthique expliquant les agissements inacceptables (propos sexistes, humiliants, atteinte à l’intégrité et à la santé physique ou mentale, violences). L’affichage des sanctions possibles pour le harceleur est également important (licenciement – rupture de contrat, jusqu’à l’emprisonnement en cas de recours auprès de la justice et en fonction de la caractérisation du délit).
  • L’organisation d’actions de formation pour la prévention du harcèlement : pour le personnel et pour les managers. Des sessions pour informer sur les droits, les agissements abusifs, inciter à la dénonciation du fautif, mais aussi pour l’aide aux managers dans la gestion des situations à risque.
  • Les dispositifs d’alerte : prévenir le harcèlement, c’est aussi mettre des services de dénonciation à la disposition des victimes de harcèlement sexuel ou de harcèlement moral au travail. Des canaux confidentiels qui permettent d’aborder la question discrètement.
  • Les référents et médiateurs internes officiels : pour apporter de l’aide et du soutien aux victimes, les informer de leurs droits et les accompagner si besoin jusqu’à ce que l’auteur soit éventuellement condamné.
  • Les accompagnements psychosociaux : pour les démarches d’assistance psychologique (thérapeute) et d’assistance sociale et juridique (aide des RH, assistance juridique, avocat…).

Pour éviter les coûts liés aux dérives du harcèlement, la mise en place de mesures proactives et l’anticipation des tensions potentielles sont indispensables. Une bonne prévention du harcèlement et de la violence au travail, c’est aussi investir dans un environnement de travail sain, productif et éthique. Une culture d’entreprise bienveillante n’est pas un luxe, mais une nécessité.

Pourquoi est-il crucial de former ses formateurs ? 5 raisons qui vous convaincront

Imaginez : votre entreprise a investi dans un ambitieux programme de formation pour accompagner sa transformation digitale. Vous avez conçu des parcours innovants, mêlant e-learning et classes virtuelles, avec vos formateurs internes. Vous avez même fait l’acquisition d’une plateforme LMS dernier cri. Mais quelques mois après le lancement, le constat est amer : faible taux de complétion des modules, mauvais feedbacks des opérationnels, ROI en berne. Que s’est-il passé ?

La réponse tient souvent en un mot : les formateurs. Ou plus précisément, leur manque de préparation pour dispenser ces nouveaux formats. Car être un expert technique ne suffit plus pour transmettre efficacement des compétences. Le formateur doit lui-même se former en continu pour accompagner les mutations de son métier. Retour d’expérience avec les éléments issus de notre formation de formateurs.

1. S’adapter aux nouveaux modes d’apprentissage

Le distanciel est devenu incontournable dans la formation professionnelle. Pour les formateurs, ce changement de paradigme est un défi. Transposer ses supports et méthodes ne suffit pas. Il faut apprendre à exploiter le potentiel des outils digitaux : ludification, granularisation des contenus, scénarisation immersive, social learning. Cela suppose de se former soi-même à l’ingénierie pédagogique multimodale, pour concevoir des parcours réellement “digital native”.

Concrètement, un formateur habitué aux formations présentielles sur les techniques de vente devra revoir son approche pour l’adapter au distanciel. Au lieu d’un stage de 2 jours en salle, il faudra imaginer un parcours échelonné avec de l’e-learning, une classe virtuelle et quelques mises en situation / jeux de rôle. Cela implique de retravailler les objectifs et le séquençage pédagogique, de se familiariser avec de nouveaux outils, de repenser les interactions.

2. Développer sa posture de consultant et de coach

L’économie de la formation est en pleine disruption, l’offre foisonne. Le formateur ne peut plus se contenter d’être un expert qui déroule son contenu. Les apprenants attendent qu’il les conseille dans leur parcours, les motive, s’adapte à leur profil. De transmetteur de connaissances, le métier de formateur évolue davantage vers celui de partenaire d’apprentissage, de coach.

Cette posture de consultant / coach suppose de développer de nouvelles compétences : techniques d’écoute active, communication assertive, méthodologie d’accompagnement individuel et collectif. Plusieurs autres “soft skills” demandent à être travaillées, mais ces trois sont les plus importantes.

Prenons l’exemple d’un formateur appelé pour animer une formation de management. Au-delà des modèles théoriques, il devra être capable de comprendre la situation spécifique de chaque manager apprenant. En clair, identifier avec lui ses problématiques et co-construire une solution à telle ou telle situation de travail. Être un bon formateur implique d’instaurer une relation de confiance, de pratiquer le feedback bienveillant, de gérer les situations délicates.

3. Intégrer les logiques de performance et d’impact business

Peu d’entreprises échappent actuellement à la problématique de rationalisation des budgets. Chaque formation doit donc démontrer son impact sur la performance. Pour le formateur, cela change la donne. Il doit intégrer dès la conception les enjeux de mise en application opérationnelle, en lien direct avec les priorités business. Cela implique de raisonner en termes d’indicateurs, de dispositif d’évaluation, de suivi après la formation. Mais aussi de créer un groupe de travail avec les managers.

Illustration avec un parcours sur la sécurité. Au-delà de former aux bons gestes, il faudra s’assurer de leur mise en pratique effective sur le terrain. Cela supposera de définir en amont avec les responsables sécurité des indicateurs mesurables (taux de port des EPI, nombre de presqu’accidents), un dispositif d’observation managériale, un plan d’action ciblé. Des éléments qui devront être intégrés dans le parcours et son déploiement.

4. Anticiper l’obsolescence rapide des contenus

Avec l’accélération technologique, le formateur doit aussi se mettre à jour en continu sur les tendances émergentes. Paradoxalement, il doit apprendre à impliquer les apprenants dans la production de contenu. De plus en plus, le savoir n’émane plus seulement des experts, mais aussi des collaborateurs qui partagent leurs pratiques. Cela explique l’essor des logiques d’apprentissage collaboratif et de communautés de pratiques. Le rôle du formateur consiste donc davantage dans l’animation que l’action de formation technique à proprement parler.

Exemple : sur un parcours de formation au Lean Management destiné à des ingénieurs de production, le formateur ne pourra plus se contenter de présenter les concepts et outils. Il devra aussi prévoir des séquences de co-développement où les participants partageront leurs retours d’expérience, imagineront ensemble de nouvelles applications. Cela implique de se positionner en facilitateur des échanges et de la production collective.

5. Créer des expériences d’apprentissage personnalisées et engageantes

Enfin, la guerre des talents et le “quiet quitting” sont deux problématiques brûlantes ces dernières années. La formation doit être un levier de (re)motivation et d’engagement durable. Elle ne doit plus être une contrainte subie, elle doit devenir un moment privilégié de développement et d’épanouissement où chacun a la main sur son parcours.

C’est la raison pour laquelle les formateurs doivent créer les conditions d’un apprentissage personnalisé et engageant. Cela passe par le recueil des besoins et aspirations en amont, la modularisation des contenus pour permettre un maximum de choix.  Cela passe aussi par l’exploitation de la data pour ajuster les parcours en temps réel, la reconnaissance des acquis et des réalisations.

Concrètement, un formateur intervenant sur des populations terrain devra être capable de proposer un parcours à la carte : des briques normatives imposées et des briques adaptées aux besoins de chacun. Il devra guider individuellement les collaborateurs tout au long de la formation (choix en fonction de leur potentiel, de leurs perspectives). Il devra aussi animer la communauté pour stimuler les interactions, la participation. Le tout en suivant au plus près la progression pédagogique et la satisfaction de chacun.

La formation des formateurs est peut-être la clé pour faire progresser la performance de votre entreprise. C’est une exigence qui demande de l’humilité et de l’investissement. Mais elle permettra de démultiplier durablement la performance de vos talents formateurs et de vos dispositifs de formation.

Comment réussir sa réponse aux appels d’offres public et privé ?

Pour décrocher de nouveaux contrats, les entreprises passent généralement par des appels d’offres, qu’ils soient publics ou privés. Mais répondre à un appel d’offres est un exercice exigeant, chronophage et pour le moins cadré. Les appels d’offres sont moins nombreux mais plus complexes (étude Vecteur Plus, 2023), cela accroît la concurrence et donc la difficulté. Il faut ajouter à cela des coûts élevés (embauche de consultants, décaissements liés à la soumission de l’offre) et des délais contraints.

Pour maximiser ses chances de succès, une approche méthodique et rigoureuse s’impose. Décryptage des facteurs clés de succès, avec les éléments issus de notre Formation pour répondre aux appels d’offres.

En amont : cibler et décrypter les appels d’offres

Sourcing et sélection des appels d’offres pertinents

Tout commence par la sélection des projets les plus pertinents pour votre entreprise. Cela passe par une veille active des avis de marché sur les plateformes spécialisées. Par exemple : BOAMP et Marchesonline pour le secteur public, Portail ARIA pour l’aéronautique, Hubwoo pour la grande distribution, etc.

L’enjeu est de concentrer vos efforts sur les projets où vous êtes le plus légitime et compétitif. Des logiciels de sourcing et de présélection peuvent vous y aider, mais le principe est qu’il faut d’abord définir vos critères de sélection. Exemple de ciblage possible :

  • Un objet du marché contenant des mots-clés liés à votre métier,
  • Une liste de secteurs d’activité visés, valable autant pour le domaine privé que public,
  • Une zone géographique,
  • Des seuils de montant et durée du marché.

Analysez le règlement de consultation pour vérifier que votre entreprise peut effectivement avoir accès à la commande : interdiction de soumissionner, niveaux de capacité requis, agréments nécessaires. Enfin, évaluez vos chances de succès : correspondance au savoir-faire, expériences similaires, charge de travail compatible, rentabilité projetée.

Analyse pointue du besoin et des attentes client

Une fois les appels d’offres présélectionnés, place à une analyse détaillée du cahier des charges :

  • Pour un appel d’offre secteur public, il faut décortiquer en priorité le CCTP (Cahier des Clauses Techniques Particulières) présenté par la collectivité territoriale ou autre administration.
  • Pour un appel d’offre secteur privé, ce sont surtout les spécifications techniques et fonctionnelles à étudier en détail.

Pour réussir un appel d’offre, l’objectif est d’identifier les critères d’attribution et leur pondération. L’appel d’offres met-il l’accent sur la technique (en moyenne 60%) ou le prix (40%) ? Les délais ? Les certifications qualité/RSE ? Il faut aussi lister exhaustivement les points à traiter, les livrables attendus, les exigences et contraintes du client.

Une compréhension fine du besoin et des attentes est la clé pour orienter efficacement votre réponse. N’hésitez pas à solliciter des précisions auprès de l’acheteur pendant la phase de questions/réponses.

Go / No Go : évaluer avec réalisme ses chances

Avant de vous lancer, challengez l’opportunité lors d’une réunion de Go/No Go. Il s’agit de chiffrer le budget de l’AO et vos coûts prévisionnels, pour vérifier si l’équation économique est tenable.

Validez aussi l’adéquation au cœur de métier et votre légitimité par rapport à la concurrence. Vérifiez la disponibilité et l’appétence de vos équipes qui seront mobilisées sur l’exécution du marché. Évaluez votre relation avec le client et vos références sur un marché public ou privé similaire. Enfin, vérifiez la rentabilité prévisionnelle du marché, en particulier si vous estimez pouvoir proposer l’offre économiquement la plus avantageuse.

Si le feu n’est pas suffisamment au vert sur tous ces critères, mieux vaut concentrer vos efforts sur des appels d’offres plus accessibles… Des outils de scoring vous aideront à objectiver la décision.

Construire une réponse pertinente et différenciante

Structurer et argumenter son mémoire technique

Votre mémoire technique doit convaincre par des réponses claires, précises et étayées. Un mémoire technique solide, c’est la clé d’une candidature convaincante.

Commencez par reformuler le contexte et les besoins, pour montrer votre parfaite compréhension du dossier de consultation. Puis détaillez votre approche et vos choix méthodologiques pour chaque lot.

Présentez de manière visuelle vos livrables, jalons et engagements de résultats. Valorisez les expertises et certifications des équipes dédiées. Étayez vos choix techniques et budgétaires par des preuves de concept et des retours d’expérience clients. Différenciez-vous par des options et des variantes pertinentes.

Enfin, soignez la lisibilité globale par une structure en miroir du DCE et un rendu aéré. Des outils de relecture alimentés par l’IA vous éviteront oublis et incohérences.

Optimiser sa proposition commerciale

Bien entendu, votre grille tarifaire se doit de rester compétitive, transparente et cohérente avec les engagements de votre mémoire technique. Mais au-delà du prix, c’est votre proposition commerciale qui renforce l’attractivité de votre offre :

  • Synthétisez vos points forts et vos engagements dans un executive summary percutant
  • Expliquez vos indicateurs de performance, vos plans de progrès et de transition
  • Étayez par des retours d’expérience et des références clients probantes
  • Proposez des modèles de gouvernance et de collaboration rassurants
  • Mettez en avant vos atouts différenciants : certifications, labels, maîtrise des risques, etc.
  • Suggérez des services complémentaires et des options à valeur ajoutée

Soigner la forme et l’impact de sa réponse

Un dossier convaincant, c’est aussi une question de forme. Structurez votre réponse en miroir des documents de consultation, avec une numérotation claire et un sommaire dynamique. Respectez à la lettre les exigences de forme du règlement : nombre de caractères, police, pagination, etc.

Multipliez les schémas, tableaux, visuels explicatifs qui faciliteront la lecture et la compréhension. Mettez en exergue vos messages clés et vos chiffres différenciants. Personnalisez votre charte graphique pour affirmer une identité distinctive.

Enfin, préparez avec soin vos passages à l’oral : un storytelling bien rodé, des slides percutants, un pitch impactant feront la différence face au panel de sélection. Des outils de création graphique et des modules d’aide au pitch vous y aideront.

Formaliser une réponse exhaustive et rigoureuse

Collecte et vérification de toutes les pièces

Votre dossier doit être complet et conforme pour éviter toute élimination sur des critères administratifs. Collectez bien tous les documents exigés : administratifs, fiscaux, sociaux, techniques, certificats, qualifications, échantillons, maquettes.

Utilisez une checklist exhaustive et un contrôle qualité systématique en double regard pour ne rien oublier. Relisez, numérotez et signez les mémoires techniques et financiers. Complétez rigoureusement les actes d’engagement et les formulaires spécifiques requis.

Dépôt dématérialisé dans les règles

La moindre erreur dans le dépôt électronique peut coûter cher. Respectez scrupuleusement les formats de fichiers, l’arborescence et les règles de nommage exigées dans le règlement. Ne confondez pas les enveloppes technique, financière et administrative. Testez vos fichiers et leur volume sur la plateforme.

Anticipez ensuite votre dépôt, au plus tard quelques heures avant la date et l’heure limites. Méfiez-vous des minutes fatidiques où les serveurs saturent ! Récupérez l’accusé de réception horodaté, qui fera foi en cas de litige. Et gardez une copie offline intégrale du dossier déposé.

Suivi proactif du processus jusqu’à l’attribution

Une fois votre réponse déposée, restez vigilant : l’acheteur peut vous solliciter à tout moment :

  • Pour régulariser un dossier incomplet ou imprécis sur la forme,
  • Pour obtenir des pièces manquantes (échantillons, fiches techniques, certificats, notamment),
  • Pour des demandes de précisions ou de compléments sur votre offre,
  • Pour défendre votre proposition lors d’une audition,
  • Ou encore pour négocier certains aspects techniques, financiers ou contractuels.

Restez mobilisé et réactif, pour justifier, défendre et adapter votre offre dans des délais souvent contraints. Des applications dédiées vous permettront d’optimiser ce suivi au long cours.

En conclusion : la formation, pour accroître son taux de succès

Répondre efficacement aux appels d’offres publics et privés mobilise des compétences juridiques, techniques, commerciales et rédactionnelles multiples. Pour accroître vos chances de succès dans cet exercice exigeant, rien ne vaut une formation pratique.

C’est l’objectif de la formation Adaliance, animée par des experts du domaine. Voici nos principaux axes de travail :

  • Décryptage du cadre juridique et des pièces types d’un AO,
  • Méthode et outils pour cibler les bons AO et décider du Go/No Go,
  • Ateliers pratiques pour rédiger des mémoires impactants,
  • Entraînements concrets aux oraux et soutenances,
  • Pièges à éviter et de retours d’expérience très concrèts.

Notre formation vous permettra de gagner rapidement en expertise et en efficacité, pour transformer ces projets d’appels d’offres en contrats.