Google Office collaborative Workspace

Google Workspace est une plateforme de travail collaboratif en ligne qui propose plusieurs outils accessibles de manière gratuite par les particuliers ou payante pour une utilisation professionnelle. Workspace comprend notamment le célèbre Google Drive qui permet le stockage et le partage de documents en interne. D’autres fonctionnalités favorisant la collaboration sont aussi présentes dans la suite Google.

Pourquoi utiliser Workspace pour favoriser la gestion collaborative de votre entreprise ?

Google Workspace est une solution flexible et innovante. Au même titre que G Suite, Google Workspace permet d’avoir une adresse e-mail personnalisée pour votre entreprise, d’avoir accès à des outils collaboratifs comme Gmail, Agenda, Drive, Sheets, Docs ou Slides. Chaque forfait a été conçu pour répondre au besoin de gestion collaboratif des salariés travaillant dans les locaux ou en télétravail. Workspace est donc un espace de travail complet, comportant des outils de communication et de collaboration pour les entreprises.

Les différentes façons d’utiliser Google Office collaborative Workspace

Si vous possédez des fichiers Microsoft Office Word, PowerPoint ou Excel et que vous utilisez Google Drive ou que votre entreprise a fait le choix de migrer vers Google Workspace, vous vous posez sûrement la question suivante : que faire de tous ces fichiers ? En effet, Microsoft Office et Google Workspace ont beau être concurrents, il est tout à fait envisageable de les exploiter de concert. Google Drive est un espace de stockage des données et également un outil permettant de lire vos documents au format Office. Voyons plusieurs modes d’utilisation de Google office collaborative workspace.

Visualiser les documents Office à l’aide de la visionneuse Google Drive

Pour visualiser les documents Office sur Google Drive, il suffit d’utiliser la fonction « preview ». L’avantage est de ne pas être obligé de convertir les fichiers. L’inconvénient de cette méthode est qu’elle ne permet pas d’ouvrir ou de modifier les fichiers. Elle reste également limitée pour des fichiers Excel.

Convertir des fichiers Office au format adapté pour Google

La première solution pour travailler avec des fichiers Microsoft Office sous Google Drive consiste à convertir les fichiers au format Google. Pour les fichiers Word, la conversion se fait avec Google Documents. Pour les feuilles de calcul Microsoft Excel, vous pouvez faire la conversion avec Google Sheets. Néanmoins, certaines fonctionnalités présentent des différences, car les fichiers ne sont pas toujours correctement convertis.

Dans l’interface Google Drive, vous devez faire quelques manipulations pour convertir correctement un fichier Office adapté pour Google :

  • localisez le fichier Office ;
  • cliquez avec le bouton droit et choisissez « ouvrir avec » ;
  • choisissez les outils Google qui correspondent au fichier : Docs pour Word, Slides pour Power Point ou Sheets pour Excel.

Vous allez ainsi obtenir une version Google du fichier Office dans le même dossier. Cette conversion va vous permettre de partager vos fichiers et de les modifier en temps réels avec vos collaborateurs.

Éditer les fichiers office dans Google Workspace

L’autre option pour travailler avec les fichiers Microsoft Office dans Workspace consiste à recourir à une extension Google Chrome pour éditer les fichiers non convertibles. Ainsi, pour modifier un fichier Office dans Google Drive vous devez :

  • installer l’extension OfficeWork ;
  • rechercher le fichier Office que vous souhaitez modifier ;
  • double-cliquez pour l’ouvrir afin d’obtenir une version web légère de Word, PowerPoint ou Excel.

L’édition légère des fichiers est utile pour les personnes qui n’ont pas de licence Microsoft Office. Cependant, il faut savoir que les fichiers non convertis au format Google ne vont pas vous permettre de profiter des fonctionnalités de partage en temps réel de Google Workspace.

Stockage des fichiers dans Google Workspace

Un autre moyen de travailler avec les fichiers Microsoft Office consiste à les stocker dans Google Drive en utilisant l’outil Drive File Stream. C’est une fonctionnalité indispensable pour favoriser la collaboration des membres de votre équipe. En effet, vous avez un dossier sur votre ordinateur local qui va représenter tous les fichiers qui sont stockés dans le cloud que les utilisateurs pourront ouvrir ou modifier depuis leur propre appareil. Les fichiers modifiés seront ensuite enregistrés dans Google Drive.

Pour bénéficier du cloud disponible dans Google Workspace, vous devez :

  • installer le programme Drive File Stream sur votre ordinateur Mac ou Windows ;
  • télécharger le programme en accédant à Google Drive, en cliquant sur l’icône et en sélectionnant « télécharger le flux du fichier du lecteur » ;
  • connecter votre compte Google.

Une fois Drive file Stream installé sur votre ordinateur, vous allez disposer d’un nouveau lecteur. Pour l’ouvrir, il suffit d’utiliser l’explorateur Windows ou le Finder si vous êtes sur Mac. Vous trouverez ainsi soit « My Drive » pour vos dossiers et fichiers non partagés, soit « Team Drive » pour les dossiers et fichiers partagés avec vos équipes.

Risques psychosociaux liés au télétravail post-covid

Avec la pandémie de Covid-19, le télétravail s’est progressivement imposé comme nouvelle norme. Ce mode d’organisation du travail, bien que permettantun meilleur équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle des salariés, peut constituer une cause des risques psychosociaux et avoir un effet négatif sur la productivité de l’entreprise. Qu’entend-on par “risques psychosociaux ? Et comment les prévenir ?

Les différents types de risques psychosociaux

Les risques psychosociaux, ou RPS, peuvent être définis comme un risque réel pour le salarié au niveau de sa santé physique, mentale ou sociale. Ils peuvent trouver leurs origines dans les conditions d’emploi, l’organisation et les relations au travail. Ces différents facteurs pouvant avoir des conséquences néfastes sur la QVT par rapport au RPS. Voici les principaux RPS.

Le stress professionnel

Le stress professionnel qui se présente comme un déséquilibre entre les contraintes professionnelles et les ressources nécessaires pour travailler correctement. Des contraintes qui peuvent être une réduction du temps, une surcharge de travail, des conflits avec le supérieur hiérarchique ou les collègues.

Le stress peut être aigü lorsque le salarié est soumis à un stress ponctuel. On parler de  stress chronique dès lors que l’employé devra faire face à des situations de stress à répétition qui peuvent se cumuler dans le temps. L’accumulation de stress peut  se révéler être vecteur de maladie chez les collaborateurs dans les entreprises. Le risque augmente dès lors que l’employeur exige une forte productivité en contrepartie d’un faible bénéfice pour les salariés.

Les violences internes et externes

Les violences internes sont celles infligées par une ou plusieurs personnes ayant un pouvoir hiérarchique ou non sur d’autres individus. À titre d’exemple, on peut citer 

  • propos désobligeants,
  • insultes, 
  • critiques injustifiés 
  • humiliations. 

Dans une entreprise, même en télétravail, les salariés ne sont pas à l’abri de comportements sexistes ou sollicitations pour des faveurs sexuelles de toutes formes. Ces agissements sont sanctionnés par le Code du travail en France.

On parlera de violences externes, en relation avec les salariés. Par exemple: 

  • Violences physiques, 
  • Agressions verbales : insultes ou attitudes hostiles de toutes natures. 
  • destruction ou dérogation d’objets personnels.

À noter que ces RPS peuvent se combiner et interagir entre eux, causant, le cas échéant des tensions au sein de l’entreprise.

Les facteurs favorisant les risques psychosociaux

Bien que la plupart des salariés soient victimes de RPS, certains profils sont plus exposés que d’autres. Il est donc important de connaître les différents facteurs qui favorisent ces risques psychosociaux :

  • l’intensité et la complexité du travail aura un impact sur la vie professionnelle et personnelle des salariés ;
  • la monotonie des tâches et le faible développement des compétences ;
  • la mauvaise qualité des relations sociales avec les collègues, la hiérarchie ou les clients ;
  • les conflits de valeur ou éthiques dans l’entreprise ;
  • l’insécurité de l’emploi ;
  • la menace de chômage.

Les modalités pour prévenir les RPS

Il existe quelques moyens de prévention des RPS pour permettre aux entreprises d’avoir leur propre politique. Les actions de prévention se présentent en trois niveaux.

Le niveau primaire de la prévention

La prévention primaire concerne les actions qui ont pour but d’identifier et d’éliminer les risques de RPS pour améliorer la qualité de vie au travail dite QVT. L’objectif est d’éradiquer les risques au niveau de l’organisation du travail au sein de l’entreprise. Cependant, ce moyen de prévention est plus difficile à mettre en place puisqu’il faut élaborer un panel des situations possibles pour anticiper les risques.

Le niveau secondaire de la prévention

Cette méthode consiste à limiter les conséquences des RPS sur les salariés qui présentent déjà des symptômes. Cette prévention secondaire ne va intervenir que sur une partie des facteurs à l’origine des risques psychosociaux après avoir fait une démarche de détection. Le cas échéant, il y aura des actions ciblées ou une formation concernant la prévention du stress dans les entreprises.

Le niveau tertiaire de la prévention

Ce niveau marque le début d’une réflexion sur votre entreprise. Cette prévention consiste à intervenir sur les salariés atteints de RPS pour que leur état ne s’aggrave pas. Ces actions concernent les salariés dans l’incapacité  de reprendre le travail, à travers des groupes de paroles ou des cellules psychologiques. Par exemple après un harcèlement ou des violences dans l’entreprise.

schéma de prévention des RPS

Source : lefacteurhumain.com

Les formations pour prendre en charge les risques psychosociaux

Des organismes spécialisés comme Adaliance offrent des formations par branche d’activité dans l’entreprise. Ces dernières consistent à identifier et en conséquence, à agir face aux RPS ainsi qu’à manager individuellement les salariés. L’entraide entre collègues pour faire face aux RPS reste primordiale,, notamment à travers une formation de quelques heures durant laquelle les participants exposent leurs problématiques afin d’améliorer la QVT des salariés.

 

Tout savoir sur le DPO : missions et formations

Depuis l’entrée en vigueur du règlement général pour la protection des données personnelles ou RGPD, les entreprises ou administrations doivent faire appel à un DPO ou Data Protection Officer. Dans cet article vous allez découvrir ses missions et les formations à suivre pour devenir un DPO.

Qu’est-ce qu’on entend réellement par DPO ?

Le délégué à la protection des données est par définition la personne en charge de la protection des données personnelles dans une structure privée ou publique. En effet, le DPO a un rôle très important dans l’application des mesures proposées par le RGPD. Son rôle principal étant d’assurer la conformité au règlement européen concernant la protection des données pour les traitements mis en œuvre dans une entreprise.

Pourquoi mettre en place un DPO ?

Le délégué à la protection des données a pour premier objectif de faire respecter le droit des données personnelles au sein d’une entreprise de toute forme. Il remplit plusieurs fonctions prévues par le RGPD comme celle d’informer les collaborateurs dans un organisme. Il va également contrôler le respect des règlements, du droit national et européen en matière de protection des données personnelles et répond aux questions des personnes concernées tout en assurant les communications avec la CNIL.

Comment s’exercent les fonctions du DPO ?

Le DPO doit garantir les droits et les libertés fondamentaux des personnes dont les données ont été collectées et traitées dans un organisme. Il doit tout faire pour que l’exercice des missions du Data Protection Officer se fasse dans les meilleures conditions. L’entreprise doit ainsi octroyer des moyens suffisants et assurer l’indépendance du DPO dans ses fonctions.

En quoi consistent les missions du DPO ?

Le DPO doit d’abord s’assurer de la mise en conformité de l’entreprise au RGPD. Il remplit également d’autres missions comme :

  • cartographier les traitements de données personnelles ;
  • participer à l’élaboration d’un règlement interne pour protéger les données ;
  • faire un recensement des activités en lien avec le traitement des données de l’organisme.

Dans quelle mesure la responsabilité du DPO est engagée ?

La responsabilité du DPO peut être engagée en cas de non-conformité au règlement général pour la protection des données personnelles. Il sera tenu co-responsable avec le responsable du traitement ou le sous-traitant le cas échéant. Cependant, il n’a pas de pouvoir de décision concernant les moyens de traitement des données. À noter qu’il est indépendant par rapport aux autres collaborateurs de l’entreprise. Dans ce cas, le responsable du traitement ne peut pas le suspendre de ses fonctions.

Dans quels cas le DPO est obligatoire ?

Le RGPD rend obligatoire la désignation du DPO dans des structures précises comme :

  • les autorités publiques sauf les juridictions dans leurs fonctions juridictionnelles ;
  • les organismes qui ont une activité de suivi régulier des personnes de grande ampleur ;
  • les organismes qui traitent des données sensibles concernant des condamnations pénales.

Quant aux entreprises qui traitent les données personnelles, la désignation du DPO est simplement recommandée, mais pas obligatoire.

Les conditions de désignation du DPO

Pour désigner un DPO, il faut qu’il ait les compétences demandées. Il doit également disposer de moyens suffisants pour accomplir ses missions et agir en toute indépendance.

Sa désignation se fera sur le site web de la CNIL avec des informations comme le numéro SIREN et ses coordonnées.

Formation pour devenir DPO

Avec l’entrée en vigueur du RGPD, le métier de DPO a connu un essor important. Comme de nombreuses offres d’emploi sont proposées sur le marché du travail, les professionnels doivent se former à cette fonction.

La formation est-elle obligatoire ?

Selon le RGPD, le DPO est désigné sur la base de certaines qualités professionnelles en particulier sur les connaissances spécialisées en matière de protection des données personnelles. Ainsi, il n’y a pas de formation obligatoire par rapport à ce métier puisqu’il n’est pas une profession réglementée comme celle d’avocat ou de notaire.

Les différents types de formation

La première formation en ligne est celle de type MOOC pour acquérir les fondamentaux et pratiques en lien au RGPD vous permettant de connaitre les bases de la mission du DPO.

Les formations webinaires donnent accès à des outils pédagogiques pour augmenter vos compétences tandis que les formations en présentiel proposées par des organismes spécialisés. La durée de ce type de formation varie de 2 à 15 jours. La seule condition est d’avoir une expérience professionnelle dans le domaine du droit ou l’informatique.

La certification est-elle obligatoire ?

Il a deux types de certification :

  • la certification de l’organisme de formation agréé par la CNIL comme Adaliance qui propose une formation RGPD et DOPO certifiantes ;
  • la certification de la formation.

Cependant, il existe des formations non certifiantes comme celles proposées par un MOOC. Vous pouvez quand même devenir un DPO avec ce type de formation sans certification. Dans tous les cas, il est recommandé de privilégier les formations DPO certifiantes dont la durée de validité d’une certification est de 3 ans.

Comment expliquer le lien entre Covid et Burnout ?

Avec la crise sanitaire de la Covid-19, le nombre de salariés en situation de Burnout a plus que doublé. En effet, selon le baromètre du cabinet Empreinte Humaine, environ 2,5 millions de salariés souffrent de cette pathologie au plus fort de la pandémie. Au travail, ils sont de plus en plus épuisés. Mais comment expliquer le lien entre la pandémie de Covid et l’évolution du Burnout ?

Qu’est-ce qu’un burnout ?

Reconnu par l’OMS, le burnout peut se traduire par un état de fatigue intense et l’incapacité à atteindre ses objectifs au travail. C’est donc un trouble psychique, résultat d’un épuisement professionnel. Il résulte le plus souvent d’un stress chronique au sein de l’entreprise. Cette pathologie va se développer progressivement lorsque le salarié est soumis à des conditions de travail démotivantes, en présentiel comme en télétravail. Il est donc important de connaitre les causes et symptômes du burnout pour pouvoir le traiter.

Vous souhaitez un accompagnement personnalisé pour prévenir le burnout ? Contactez-nous !

Causes du burnout

Il existe de nombreux facteurs de burnout dont voici les plus connus :

  • la surcharge de travail ;
  • les problèmes entre les salariés (conflits, manque de communication) ;
  • des objectifs de production très difficiles à atteindre ;
  • l’insécurité de l’emploi.

Ainsi, une charge de travail trop importante va rapidement épuiser le salarié et peut le pousser au surmenage ainsi qu’à l’épuisement physique et mental. Malheureusement, cette dégradation conduit souvent à une dépression.

Symptômes

Le burnout se présente d’abord via des signes physiques : fatigue permanente, maux de dos, migraines ou insomnies etc.

Cette souffrance liée au surmenage peut aussi se manifester à travers :

  • des crises d’anxiété ;
  • une irritabilité accrue ;
  • une tendance à s’isoler au sein de l’entreprise ;
  • des difficultés de concentration et de communication.

D’autres signes peuvent caractériser le burnout sur le long terme comme la frustration et le sentiment d’échec. Des troubles du comportement alimentaire et des addictions peuvent se présenter, dès lors que l’épuisement persiste.

Comment sortir du burnout ?

Si les symptômes d’épuisement professionnel s’installent, voici quelques conseils pour vous aider :

Il est d’abord important de vous reposer en prenant quelques jours de congés. Si vous ne le faites pas, un professionnel de santé peut vous y contraindre avec un arrêt de travail. Profitez de cette période pour tester des exercices de relaxation afin de lutter contre le stress et vous reposer. Ensuite, vous devez vous poser des questions sur les sources de votre burnout, afin de trouver des solutions adaptées.

Il est fortement recommandé de bénéficier d’un suivi psychologique pour disposer d’un espace privé et livrer ses peurs et angoisses sans jugement. Un professionnel en la matière déterminera si vous avez besoin d’un traitement médicamenteux, et saura vous conseiller.

En cas de burnout sévère, votre médecin traitant peut tout à fait prescrire une prise en charge par un psychiatre.

Le facteur « covid »

Comme vu précédemment, le burnout se caractérise par un épuisement physique et mental. Il trouve sa source dans un stress intense ; or, la pandémie de Covid-19 constitue un facteur de stress monumental. En effet, il peut destabiliser votre qualité de vie, notamment si vous devez prendre soin d’un membre de votre famille contaminé (parents, enfants, proches).

À cause de cette situation, les salariés sont davantage sujets à des cas d’épuisement professionnel. Ainsi, le service RH aura des difficultés à accompagner tous les collaborateurs en manque d’énergie, démotivés. Des mesures doivent donc être prises pour prévenir le burnout.

Le lien entre Covid et burnout

Le stress apporté par la pandémie de coronavirus oblige les employés à adapter leur routine quotidienne aux mesures sanitaires. La crise Covid est effectivement une situation instable qui favorise le burnout en plus des inquiétudes persistantes comme l’oubli d’un masque pour se rendre dans les locaux de l’entreprise. Le fait de prendre les transports et risquer de contracter le virus constitue également un facteur d’angoisse supplémentaire. D’autant que certains collaborateurs ont la fâcheuse tendance à ne pas respecter les gestes barrières.

Le sentiment d’isolement au travail ou à domicile peut devenir un facteur d’épuisement quotidien.

Enfin, en période de pandémie, l’instabilité de l’emploi et la perte de revenus sont à l’origine d’une peur constante pour les employés.

Prévenir le burnout en période de Covid

Pour prévenir le burnout, l’employeur peut créer un milieu de travail sécuritaire. Il va notamment s’assurer que les employés respectent les mesures sanitaires afin de certifier la sérénité de cet espace de travail. Il est également recommandé de proposer aux salariés un temps pour faire des activités physiques.

Même en cas de télétravail « forcé », il est primordial de répartir de façon équitable la charge de travail avec des délais tenables pour éviter le burnout. Le télétravail ne doit pas justifier des heures supplémentaires et des projets plus lourds. Le temps de trajets supprimé doit permettre aux salariés de prendre soin d’eux.

L’employeur doit également donner l’accès à des formations adaptés pour accroitre la confiance de ses équipes et réduire leur stress.

Si vous avez un rôle au sein du département RH et souhaitez prévenir le burnout de vos collaborateurs et collaboratrices, notamment avec les vagues de covid (mais aussi d’autres pandémies potentielles), prenez contact avec nos formateurs et déterminez ensemble comment améliorer la qualité de vie de vos salariés !

Le top 10 des meilleurs outils de travail collaboratif pour entreprise

Avec le développement rapide du digital, le travail collaboratif est devenu une part importante de la stratégie des entreprises en plus du contexte sanitaire actuel qui fait évoluer leur organisation avec la mise en place du télétravail. Dans ce cas, une mauvaise communication augmente les risques d’incompréhension entre les collaborateurs. Les outils collaboratifs ont donc pour objectif d’assurer le bon déroulement des tâches effectuées par les équipes. Dans cet article, vous allez découvrir les 10 meilleurs outils de travail collaboratif.

Outils de travail collaboratif pour faciliter la gestion de projet dans une entreprise

En matière de travail collaboratif, les outils de gestion de projet sont indispensables pour planifier et organiser les tâches de manière efficace dans l’entreprise.

Trello

Trello est sans doute l’un des outils collaboratifs de gestion gratuits le plus connus. Il est à la fois clair et intuitif pour mener les projets au sein de l’entreprise. Ses fonctionnalités par rapport à la gestion de projet se présentent sous la forme de cartes avec une liste des actions que vous pouvez déplacer sur un tableau structuré. Les équipes vont suivre en temps réel les notifications, les tâches en cours ou effectuées.

Monday

C’est un outil de gestion de projet simple à utiliser. Il se base sur le cloud permettant aux équipes de planifier et de réaliser leurs tâches sur une même plateforme. Les collaborateurs ont le choix de créer des tableaux partagés ou privés. Ses fonctionnalités automatisées permettent de gagner du temps.

Les meilleurs outils SIRH pour digitaliser les ressources humaines

Les outils SIRH permettent de réponde aux différents besoins en matière de ressources humaines. L’objectif étant de gagner du temps et d’améliorer la productivité.

Lucca

Lucca est un logiciel de SIRH ou Système d’Information des Ressources Humaines. Il regroupe plusieurs fonctions qui facilitent la gestion numérique de la paie, le suivi des horaires de travail, l’enregistrement des congés des salariés. Lucca possède donc une gamme complète d’outils qui va favoriser la digitalisation des ressources humaines au sein de l’entreprise.

Payfit

C’est une plateforme qui permet aux entreprises d’économiser de l’argent grâce à l’automatisation : de la paie, de la gestion des tâches administratives et des processus RH. Payfit permet également aux salariés de saisir les données concernant leurs horaires de travail pour ensuite être intégrés dans la fiche de paie.

Les meilleurs outils de gestion de documents

Le recours à des outils de travail collaboratif permet également une bonne gestion et de partage des documents.

AODocs

AoDocs est une plateforme en ligne qui facilite le traitement des factures et la gestion des contrats tout en donnant la possibilité de générer des documents depuis Google Workspace en toute sécurité.

Dropbox Business

Dropbox Business est un logiciel de gestion de documents qui s’adresse aux entreprises. Il permet aux membres d’une équipe de collaborer ensemble avec le système de partage des données instantanées. Son outil de récupération de fichiers est non négligeable.

Les outils nécessaires pour le contract management

Un logiciel de contract management permet d’automatiser la création et le suivi des contrats par les équipes juridiques.

Contractbook

C’est un outil de gestion de cycle de vie des contrats et de la présentation du travail du service juridique. Il propose des modèles prédéfinis pour vous aider dans la rédaction d’un contrat. Il est donc indispensable pour gérer les documents juridiques.

Juro

Juro est une plateforme qui permet à l’équipe juridique de créer, d’exécuter et de surveiller les contrats en cours dans l’entreprise. Cet outil va vous aider à rationaliser le flux de travail des contrats et à faciliter leur gestion dans le temps.

Les outils CRM conçus pour la relation client dans une entreprise

Le CRM ou Customer Relationship Management est un outil qui aide les entreprises dans la relation client notamment en simplifiant ce processus et améliorant leur chiffre d’affaires.

SalesForce

SalesForce est un logiciel de gestion CRM doté d’un support client. Il permet l’évaluation de chaque prospect pour ensuite proposer des scénarios pour les équipes. Sa connexion aux réseaux sociaux favorise le suivi des utilisateurs par rapport à un service ou un produit.

Hubspot

Il va faciliter l’organisation du service commercial dans l’entreprise. En effet, ce logiciel va vous éviter de perdre du temps dans des tâches chronophages en proposant des fonctions comme l’envoi d’emails automatiques et des interactions en temps réel.

Des outils collaboratifs indispensables pour communiquer dans l’entreprise

La réussite de la mise en place du travail collaboratif de qualité nécessite l’utilisation d’outils de communication performants.

Slack

Slack est une plateforme collaborative qui donne la possibilité aux collaborateurs de communiquer plus rapidement et de manière sécurisée. Elle organise des espaces de travail collaboratif de qualité pour faciliter les conversations entre un dirigeant d’entreprise et son équipe.

Klaxoon

Klaxoon permet l’organisation d’atelier collaboratif dans un environnement hybride puisque certains collaborateurs peuvent être en télétravail. Ses différentes fonctionnalités comme la discussion instantanée vont améliorer la communication au sein de votre entreprise.

Office 365 : comment ça fonctionne ?

Microsoft Office fait partie des logiciels les plus vendus au monde avec plus d’un milliard d’utilisateurs à travers le monde. Microsoft 365 a été créé pour permettre aux entreprises d’avoir accès à des outils de qualité pour garantir le fonctionnement de leur infrastructure informatique. Des offres pour les particuliers existent également. Mais comment ça fonctionne réellement ?

 


Adaliance vous propose des accompagnements pour l’implémentation de Microsoft Office 365. Nos experts peuvent également assurer une formation complète et sur mesure pour vos salariés afin de prendre en main vos nouveaux outils de travail collaboratifs.

 

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Présentation de Microsoft 365

Microsoft 365 se présente comme étant la dernière version d’abonnement d’office et de ses services cloud qui se composent de plusieurs applications : Excel, Word, Exchange ou PowerPoint. Mais, d’autres applications ont également fait leur apparition comme le service de stockage en ligne SkyDrive ou les messageries professionnelles Outlook tout comme des acquisitions de logiciels directement intégrées à Microsoft Teams comme Skype.

Microsoft 365 est-il gratuit ?

Microsoft 365 est utilisé par les particuliers, les étudiants, les PME et les grandes entreprises. Il existe plusieurs forfaits pour répondre aux besoins de chaque type de clientèle, en sachant que Microsoft Online est gratuit, mais ne propose que des applications d’Office accessible qu’avec une connexion internet. À titre d’exemple, vous avez Outlook, OneDrive et d’autres applications Office, Word, Excel.

Comment se connecter à Microsoft 365 ?

Pour se connecter à Microscoft 365, vous devez créer un compte Microsoft, puis vous connecter à Office.com depuis un navigateur web pour utiliser les applications gratuites de votre choix : Teams, Word. L’autre solution pour vous connecter est d’installer directement l’application Office sur votre ordinateur.

Comment télécharger et installer Microsoft 365 ?

Pour télécharger Microsoft 365, vous devez d’abord vérifier si votre ordinateur PC ou Mac est conforme à la configuration minimale demandée. Si vous réinstallez Office, vous devez déjà avoir une clé de produit. Si vous possédez une licence, il vous suffit d’accéder à la section connexion pour télécharger et installer Office 365.

Pour une première installation de Microsoft 365, des étapes de pré-installation doivent être respectées. En effet, vous devez être connecté à Office.com avec un compte Microsoft, professionnel ou scolaire.

Après la connexion, vous devez suivre la procédure qui correspond à votre type de compte. Dans tous les cas, vous pouvez faire une installation à partir de la page d’accueil du site en notant que c’est la version 64 bits qui sera installée par défaut sur votre appareil.

Quel est le prix d’un abonnement Microsoft 365 ?

À part sa version gratuite, il existe plusieurs forfaits pour Office 365. Pour la version grand public, le prix de l’abonnement est de 69 euros par an pour un stockage en ligne de 1 To. Quant à Microsoft 365 Famille, le prix est fixé à 99 euros pour un stockage de 6 To si la version business coûte 5 euros par mois et par utilisateur.

Détails sur les différents forfaits de Microsoft 365

Microsoft 365 s’adresse à plusieurs types d’utilisateurs, particuliers et professionnels.

Microsoft 365 famille

L’édition Famille de Microsoft 365 a l’avantage d’être partagée avec plusieurs utilisateurs à partir d’un ordinateur ou d’un appareil mobile. Elle propose également un service de sauvegarde de données en ligne et des appels téléphoniques gratuits. L’abonnement est de 99 euros par an. Pour cela, vous aurez accès aux dernières versions de logiciels Word, Outlook et au service de stockage dans le cloud avec OneDrive. Chaque utilisateur va ainsi profiter d’un stockage de 1 To et une heure d’appels gratuite par mois via Skype. La suite est à la fois disponible sur PC ou sur votre appareil mobile tel qu’un smartphone pour travailler de façon collaborative.

Microsoft 365 personnel

C’est l’abonnement grand public d’Office 365 avec un stockage de 1 To dans le cloud pour chaque utilisateur. Microsoft 365 personnelle propose également des fonctionnalités de sécurité, une assistance intelligente et des modèles pour le traitement de photos et de polices dans Word. Avec ce forfait, les utilisateurs vont bénéficier d’une sécurité maximum dans OneDrive et Outlook en notant que ce type d’abonnement vous permet d’utiliser 5 appareils instantanément.

Il est également possible de contacter le support client par chat ou par téléphone sans pour autant payer des frais supplémentaires. L’autre caractéristique de Microsoft 365 personnel est l’organisation de vos projets scolaires et réunions virtuelles. Quant au partage des données, il peut se faire à partir d’OneDrive depuis votre PC ou smartphone pour permettre au membre de votre famille de consulter les documents.

Microsoft 365 Business

Pour les entreprises, Microsoft 365 Business permet de rester productif n’importe où grâce à des fonctionnalités pour l’organisation du travail même à distance, le partage des documents dans le cloud. Il est aussi possible de collaborer avec les applications d’Office. La version Business permet de protéger les données de votre entreprise avec une sécurité intégrées contre les cyberattaques, protéger les informations clientèle et gérer les différents appareils.

Pour votre entreprise, c’est une solution économique pour réduire les coûts informatiques et l’automatisation des tâches chronophage. Vous allez également consolider les dépenses en lien avec le fournisseur. Pour le prix de l’abonnement mensuel vous aurez le choix selon votre budget entre Microsoft 365 Business, Basic de 5,10 euros, Standard de 10,50 euros et Premium de 18,60 euros.

Travail collaboratif : tout savoir sur le fonctionnement de Teams

La pandémie de Covid-19 conduit les entreprises à chercher des outils destinés à faciliter le travail collaboratif avec Teams qui est une application intégrée à Office 365, rapidement devenue un outil incontournable pour réussir la mise en place du travail collaboratif. Mais comment fonctionne Microsoft Teams en matière de travail collaboratif ?

Présentation de Microsoft Teams

Microsoft Teams est un outil utilisé dans le travail collaboratif. Il est gratuit pour les utilisateurs disposant d’une licence sur Office 365. Pour faciliter la collaboration dans l’entreprise, il reprend les fonctionnalités de Microsoft comme la messagerie instantanée, la création de canaux de discussion privée ou publique pour les membres de l’équipe, le stockage en ligne et l’échange des fichiers avec SharePoint.

D’autres outils collaboratifs vont s’ajouter à Teams comme Asana, Trello pour la gestion de projets, Salesforce pour la relation client ou PowerBI pour analyser les données. Plusieurs applications peuvent donc booster son efficacité.

Pour quelles raisons utiliser Microsoft Teams ?

Teams est un outil complet qui permet de gérer et de communiquer avec les équipes à distance. Vous pouvez donc collaborer facilement en interne ou en externe à l’entreprise.

Teams favorise la collaboration des équipes

Le premier rôle de Microsoft Teams est de favoriser la collaboration des équipes notamment grâce à ses fonctionnalités de chat et de visioconférence. Teams favorise également les échanges d’informations sur un client ou projet.

Avec Teams, travailler de n’importe où

L’un des avantages de Teams est la mobilité. Ce qui signifie que les membres d’une équipe n’ont pas nécessairement l’obligation d’être présents dans l’entreprise pour échanger des informations. Ils peuvent se connecter à l’application depuis un smartphone, un PC portable ou une tablette. L’important est d’avoir un accès internet pour consulter les messages et documents n’importe où.

Travailler mieux avec Teams

Pour permettre aux membres d’une équipe de travailler ensemble en fonction de leur habitude de travail, Teams a mis en place des applications que les collaborateurs maitrisent déjà comme Office avec Word et Excel. Pour la gestion des projets, ils peuvent modifier en simultanée un même fichier. Des applications externes comme Adobe ou PowerBi peuvent être utilisées par les équipes.

Travailler en sécurité avec Teams

La plateforme de Teams utilise les paramètres de sécurité de Microsoft notamment la conformité RGPD, les certifications ISO en Europe et le système de double authentification.

Les applications indispensables pour mieux collaborer sur Teams

Voici un aperçu des applications pour permettre un excellent travail de collaboration avec Teams.

Microsoft Forms

C’est une application qui permet de créer des sondages ou questionnaires sur la plateforme de travail collaboratif Teams. Elle va également collecter les réponses en sachant que cet outil tout aussi efficace pour créer des enquêtes de satisfaction auprès des clients, et sonder la satisfaction des équipes. Le but est de connaître leur opinion sur un projet. Cette application va également inclure les collaborateurs dans le processus de décision de l’entreprise.

Microsoft Planner

L’application Microsoft Planner va aider dans la mise en place du travail d’équipe de manière très  intuitive et permettre aux équipes de gérer leurs tâches, d’organiser leurs projets et de partager les fichiers. Ce gestionnaire de tâches va ainsi favoriser le suivi du travail en cours sur un tableau de bord. A noter qu’il peut s’intégrer facilement à Teams.

Power BI

C’est un logiciel qui va vous aider à visualiser les données brutes de manière lisible. Power BI est donc une solution de Business Intelligence pour analyser les données. Pour ajouter cet outil à Teams, il suffit d’ajouter un nouvel onglet de l’application. Son tableau de bord va ainsi mesurer la marge brute de l’entreprise, recenser le nombre de clients et de produits. Le cas échéant, vous pouvez suivre l’évolution de votre chiffre d’affaires.

Stream

Stream est une solution qui permet le partage des vidéos entre les équipes de collaborateurs en toute sécurité notamment pendant les réunions ou les formations. Il s’agit du logiciel idéal en période de télétravail pour améliorer la communication interne et faciliter le partage des informations.

Polly

Avec Polly vous pouvez créer en quelques clics des sondages. Mais contrairement à Microsoft Forms, cette application a été spécialement conçue pour des plateformes de communication collaborative telles que Slack ou Zoom permettant ainsi d’avoir des réponses instantanées. Polly donne la garantie aux entreprises de prendre les bonnes décisions avec un sondage des équipes.

Karma

Karma est un outil collaboratif très original qui permet de distribuer de bons points aux collaborateurs pour les remercier de leur participation au développement de l’entreprise. Avec ce logiciel, vous allez partager avec les membres de votre équipe des feedbacks sur la réalisation d’un projet. L’objectif est de saluer le travail collaboratif des salariés. Cet outil va ainsi créer un lien entre les collaborateurs en partageant des moments de complicité.

En conclusion, les fonctionnalités multiples et les outils divers de Microsoft Teams permettent de mettre en œuvre un travail collaboratif efficace au sein de l’entreprise.

Sensibilisation des collaborateurs à la cyber sécurité

Dans notre monde numérisé, la cybercriminalité visant les entreprises et les institutions est constamment en hausse. Bon nombre d’organisations ont déjà été victimes de cyberattaques : hameçonnage, demandes de rançons, etc. Voyons ensemble comment sensibiliser ses collaborateurs aux enjeux de cybersécurité.

Les enjeux de la cybersécurité pour une entreprise

Les cyberattaques sont devenues de véritables fléaux pour tous types d’organisations. Personne n’est à l’abri puisqu’elles peuvent résulter des erreurs des employés. Le phishing est la cyberattaque la plus répandue et touche les entreprises de toute taille. Dans ce cas, le manque de sensibilisation des collaborateurs va augmenter les risques.

Il est important de vérifier la provenance des mails, de ne pas cliquer sur des liens dont le preview semble douteux (URL inconnue) ou de télécharger des pièces jointes venant a priori d’expéditeurs mal renseignés. La sensibilisation peut commencer par cela : vérifier la provenance de ses messages et ne pas cliquer/télécharger n’importe quoi.

Les conséquences d’attaques informatiques comme le phishing, qui consiste à usurper une identité ou voler des données personnelles, se traduisent ainsi :

  • pertes financières en raison des frais de réparation, dépannage ou récupération des données volées, voire détruites ;
  • interruption des activités de l’entreprise ;
  • perte de données sensibles de clients ou partenaires ;
  • mauvaise réputation de l’entreprise en cas de divulgation d’informations sensibles ;
  • préjudice commercial ;
  • exposition à des poursuites judiciaires par les personnes impactées par la cyberattaque.

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Sensibiliser vos employés à la cybersécurité

Proposer un programme pour sensibiliser les salariés à la cybersécurité est indispensable pour sécuriser votre système d’informations. Cette sensibilisation va permettre de :

  • protéger votre système d’information ;
  • limiter les pertes de données ;
  • réduire les pertes financières en lien avec une attaque de votre réseau informatique.

À noter que la sensibilisation de vos collaborateurs va leur donner de nouvelles compétences et développer la cyberculture au sein de votre entreprise.

Formation : sensibilisation à la cybersécurité

La sensibilisation des collaborateurs à la cybersécurité passe par plusieurs étapes.

La charte informatique

Pour sensibiliser vos employés à la cybersécurité, il est indispensable de mettre en place une charte informatique au sein de votre entreprise. Ce document est rédigé par un responsable de la sécurité des systèmes d’information. Ce responsable peut être un employé de votre organisation, ou un consultant externe régulier.

La charte informatique va présenter la ligne de conduite à respecter par tous les salariés de l’entreprise. Elle va déterminer :

  • les outils informatiques mis à la disposition des employés comme les ordinateurs, smartphones, imprimantes ;
  • la bonne utilisation de ces outils ;
  • les logiciels et applications pour la gestion, l’organisation administrative ;
  • les règles à respecter concernant le traitement des données ;
  • les précautions à prendre dans l’utilisation d’internet, des appareils connectés, des e-mails, de la téléphonie, le partage des documents ;
  • les sanctions en cas de non-respect de la charte.

Il est recommandé d’intégrer dans la charte informatique les usages liés au télétravail, à la mobilité, aux déplacements professionnels. Le document doit également avoir un volet juridique conforme au Code du travail et au Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Dans tous les cas, la charte doit être annexée au contrat de travail, au règlement intérieur de l’entreprise et aux contrats avec les clients et prestataires.

La formation des collaborateurs

La formation est une étape essentielle pour la sensibilisation des collaborateurs à la cybersécurité. Elle leur permettra de comprendre les gestes de base pour la protection des données au sein de l’entreprise.

La formation va améliorer l’organisation de votre « cyberculture » et peut aussi bien se faire en présentiel qu’à distance. Les sessions porteront sur tous les aspects de la sécurité informatique de votre entreprise comme les risques liés aux mails, les comportements à adopter en cas d’attaque sur vos installations informatiques, etc.

La formation à la cybersécurité présente ainsi plusieurs objectifs :

  • Sensibiliser le personnel aux cybermenaces et à la confidentialité des données ;
  • permettre aux employés d’en savoir plus sur le respect des procédures ;
  • éviter les emails de phishing ou autres types d’escroquerie ;
  • réduire le nombre de pertes ou vol de données ;
  • renforcer la culture de conformité en matière de sécurité informatique.

Avec l’apparition de nouvelles menaces chaque jour, il est primordial de prévoir des séances de mise à jour à travers une formation continue ou des bulletins d’informations pour faire face aux nouveaux risques.

Faire des mises en situation

L’un des moyens pour sensibiliser les collaborateurs à la cybersécurité consiste à les confronter aux risques pour se rapprocher le plus de la réalité. À la fin de la mise en situation, vous pouvez proposer un test aux participants. Même si ce test se présente simplement sous la forme d’un quizz en 10 questions, cela permettra de constater le niveau de sensibilisation des participants.

Quant à la simulation à proprement parler, l’employé peut recevoir un message de piratage qui est en réalité une fausse attaque. Les tests vont porter sur les principaux risques comme le phishing.

Si vous souhaitez dès à présent sensibiliser votre équipe, ou l’ensemble de vos collaborateurs à la cybersécurité, contactez Adaliance !

Management Hybride : un mode de travail qui tend à se confirmer

Le management hybride est un terme qu’on entend de plus en plus depuis 2020 à cause des confinements successifs. Les entreprises se sont organisées pour mettre en place le télétravail pour une partie des équipes. C’est une pratique qui tend à s’imposer dans les modes de travail. Mais qu’est-ce qu’on entend par management hybride ? Et comment le mettre en place correctement dans votre entreprise ?

En quoi consiste le management hybride ?

Le management hybride permet de gérer les collaborateurs qui travaillent dans des lieux différents, en présentiel dans l’entreprise ou à distance depuis leur domicile. L’objectif est de fluidifier la collaboration des membres d’une équipe pour qu’ils puissent collaborer efficacement.

Le travail hybride au plus fort de l’épidémie de Covid-19 représente plus de la moitié des salariés en France. C’est une pratique qui donne plus de liberté dans le mode de travail des équipes.

L’objectif du management hybride est donc de concilier le management à distance et le management en présentiel. La gestion de l’équipe doit se faire de manière collective puisque l’autonomie des collaborateurs est indispensable.

Les avantages du management hybride

Le travail hybride est une combinaison des atouts du travail en présentiel et du travail à distance. Vos collaborateurs peuvent donc choisir l’environnement de travail qu’ils souhaitent pour être plus productifs et améliorer leur bien-être. De plus, le télétravail permet de réduire le temps de transport. Ils auront aussi plus de temps à consacrer à leur famille et loisirs.

Le management hybride est un moyen de retenir les talents au sein de la société. En d’autres termes, les salariés auront envie d’y rester plus longtemps. Les équipes hybrides vont également améliorer le recrutement de nouveaux collaborateurs. En effet, l’entreprise va attirer de nouveaux talents grâce à l’élimination des barrières géographique avec le travail à distance.

Les défis du management hybride

Le management hybride pose de nombreuses difficultés dont en voici les plus importantes.

Le défi de la communication à distance

L’une des difficultés du management d’équipe hybride est celle de maintenir une bonne communication à distance. En effet, même si la technologie va faciliter les échanges, elle est moins spontanée et dépense plus d’énergie. En plus, l’utilisation de logiciel de visioconférence comme Zoom peut causer un ressenti de fatigue chez les collaborateurs. Ainsi, une communication asynchrone est mise en place, car les salariés ne travaillent pas aux mêmes horaires et n’ont pas l’accès aux informations en simultané.

Le défi de la cohésion d’équipe

Le management hybride apporte également des défis dans le domaine de la collaboration et des relations humaines. Les discussions informelles peuvent créer de la distance entre les collaborateurs de l’entreprise. D’autre part, le travail en présentiel ou à distance au sein de des domiciles des salariés risquent d’entrainer une dualité ou des conflits entre les membres d’une même équipe.

Les clés de la réussite du management hybride

La réussite du management hybride nécessite de prendre des mesures appropriées pour mettre en place de bonnes pratiques.

Définir le rôle de chaque collaborateur

Dans une équipe hybride, la communication est un élément important. Les managers doivent s’assurer que chacun comprenne le travail à faire et les objectifs à atteindre. Les réunions d’équipe sont l’occasion de discuter des projets et d’avoir une idée sur l’avancée du travail. Le but est ainsi de motiver les collaborateurs.

L’importance des feedbacks

Il est souvent difficile de trouver le bon moment pour faire un feedback dans une équipe hybride. Le manager doit planifier les meilleurs créneaux pour discuter avec les équipes. Il est indispensable de consacrer du temps pour échanger de manière individuelle avec chaque collaborateur au moins une fois par mois. Les sujets à aborder sont : les tâches, le succès et leurs difficultés.

Pour lancer la conservation, vous pouvez par exemple parler des points positifs ou négatifs du travail à distance. Il est primordial de créer un espace bienveillant pour donner aux collaborateurs l’occasion de s’exprimer. Le cas échéant, les managers peuvent prendre les mesures correctives nécessaires.

Favorisez le lien social des collaborateurs

Les échanges informels vont créer des relations entre les différents membres d’une équipe. Une bonne entente est une garantie pour motiver les collaborateurs et améliorer la productivité. Même en télétravail, il est toujours possible de créer un lien social. La solution est de multiplier les opportunités de discussion. Pour ce faire, vous pouvez par exemple créer un espace de chat pour discuter ou planifier des petits déjeuners ou déjeuners virtuels entre les collaborateurs. L’objectif est de créer des liens avec les collaborateurs dans l’entreprise.

Utilisez les bons outils collaboratifs

Le travail hybride est possible grâce à la technologie notamment aux outils collaboratifs avec des logiciels de visioconférence ou de messagerie. Avant de choisir les outils adaptés à votre équipe, vous devez analyser les besoins, les fonctionnalités et le service client pour éviter les problèmes futurs. Il est également conseillé de prévoir une formation ainsi qu’un accompagnement en ligne par rapport à l’utilisation de ces outils par les collaborateurs.

Les modalités de mise en conformité RGPD

Si vous n’avez pas accompli les démarches pour la mise en conformité au règlement général sur la protection des données (RGPD), il faut savoir que la période de grâce accordée par la CNIL s’est terminée fin mars 2021. La mise en conformité en question doit donc être une priorité pour les entreprises pour éviter les sanctions. Cet article va vous aider à comprendre les différentes étapes à suivre pour la mise en conformité RGPD.

Recensement des traitements des données

Le RGP impose à votre entreprise d’avoir un responsable de traitement de données. Ce dernier doit avoir une vision globale de l’ensemble des données personnelles collecté et traité au sein de l’organisme privé ou public. Le registre est tenu, en principe, par le délégué à la protection des données ou DPO. Sa mise en place étant prévue par le RGPD. Il va ainsi recenser :

  • les informations concernant le responsable du traitement et le DPO ;
  • la finalité poursuivie pour chaque traitement de données ;
  • les catégories de personnes concernées par la collecte ;
  • les personnes habilitées à avoir droit à l’accès des données et à qui elles seront transférées ;
  • la durée de conservation des données en archive ;
  • les mesures de sécurité ;
  • les transferts de données personnelles en dehors de l’Union européenne.

Pour assurer la mise à jour des données, il faut être en contact permanent avec toutes personnes de la collectivité qui peuvent traiter les données.

Effectuer un tri des données

Avec le registre des fichiers, vous pouvez traiter la pertinence des données et l’objectif poursuivi. En effet, les données doivent nécessairement être liées à vos activités. Vous pouvez, pendant cette étape de tri, va améliorer vos pratiques notamment en minimisant la collecte de données en éliminant les informations inutiles. Le RGPD impose de redéfinir la personne qui pourra accéder aux données dans votre entreprise. Il est également important de définir les modalités d’effacement ou d’archivage automatique.

Le registre doit aussi vous permettre de vérifier la nature des données traitées pour prendre des mesures de sécurité adaptées aux risques spécifiques. De plus, vous devez prendre l’engagement de ne pas conserver les données au-delà de ce qui est nécessaire en fixant précisément cette durée de conservation.

Permettre aux administrés d’exercer leurs droits

Avec le nombre croissant de plaintes au niveau de la CNIL, il est indispensable dans la mise en conformité au RGP de prendre des mesures pour permettre aux administrés d’exercer leurs droits.

Informer les personnes lorsque vous traitez leurs données personnelles

Quand les données personnelles sont recueillies et traitées sur un formulaire ou un téléservice, vous avez l’obligation d’informer les personnes concernées des conditions d’utilisation de leurs données et de leurs droits. L’entreprise doit ainsi fournir des informations concernant :

  • les coordonnées du responsable du traitement ;
  • la finalité de la collecte des données, ce qui vous autorise à faire le traitement ;
  • le consentement des personnes propriétaires des données ;
  • la durée de conservation des données ;
  • l’existence d’un sous-traitant ;
  • le transfert des données dans un pays hors de l’UE ;
  • la protection des données.

A noter qu’il est recommandé de donner ces informations en fin du formulaire en ligne notamment dans la partie politique de confidentialité.

Faciliter l’exercice des droits par les administrés et agents

Les agents, administrés et prestataires, ont des droits sur leurs données personnelles. Le RGPD vous oblige à permettre à ces personnes d’exercer leurs droits :

  • le droit d’accès aux informations que vous détenez sur eux ;
  • le droit de rectification, c’est-à-dire la modification de leurs informations ;
  • le droit de faire opposition sur l’utilisation des informations détenues par votre entreprise ;
  • le droit à la portabilité avec la possibilité de récupérer leurs données sur un format ouvert et lisible par machine ;
  • le droit à la limitation sur leurs informations personnelles.

Il faut savoir que ces droits consacrés par le RGPD ont chacun leurs exceptions et leurs limitations en fonction de la base légale de traitement ou du contexte.

L’obligation de recueillir le consentement RGPD

C’est une obligation prévue par le règlement général sur la protection des données. En effet, ce consentement va autoriser le traitement des données personnelles. Il est défini par le RGPD comme une manifestation de volonté libre et éclairée non équivoque. En d’autres termes, la personne accepte par un acte positif le traitement de ses données. Le RGPD ajoute des garanties complémentaires concernant le consentement comme le droit au retrait, la preuve du consentement apportée par le responsable du traitement. Dans ce cas, la CNIL peut recommander la tenue d’un registre des consentements.

La sécurisation des données

Le risque zéro est impossible dans le domaine informatique, cependant, vous devez prendre les mesures nécessaires pour le limiter. La protection consiste à réduire les risques de perte ou de piratage. Il est donc impératif de prendre des mesures préventives comme la mise à jour des antivirus ou des logiciels de manière périodique. Les failles de sécurité peuvent donc avoir des conséquences sur les personnes propriétaires des données et votre entreprise.